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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Des voitures passent sous un viaduc à l’usine d’assemblage de voitures General Motors à Oshawa, le 1er juin 2012. REUTERS/Mark Blinch/File Photo
(Reuters) – Le syndicat canadien Unifor a annoncé mardi qu’il entamerait des grèves dans trois usines de General Motors (NYSE 🙂 dans le pays après avoir échoué à parvenir à un accord sur un nouveau contrat visant à améliorer les salaires et les retraites avant minuit.
Unifor, qui représente environ 4 300 travailleurs de GM visés par les négociations, a déclaré qu’il se mettrait en grève au complexe d’assemblage d’Oshawa, à l’usine de groupes motopropulseurs de St. Catharines et au centre de distribution de pièces de Woodstock, ajoutant ainsi aux troubles sociaux dans l’industrie automobile nord-américaine.
« L’entreprise continue de ne pas répondre à nos demandes en matière de retraite, de soutien du revenu pour les travailleurs retraités et de mesures significatives pour assurer la transition des travailleurs temporaires vers des emplois permanents à temps plein », a déclaré la présidente nationale d’Unifor, Lana Payne, dans un communiqué.
GM est déçu de ne pouvoir parvenir à un accord pour le moment, mais continuera de négocier avec Unifor, a déclaré le constructeur automobile dans un communiqué.
Unifor représente environ 18 000 travailleurs dans les installations canadiennes des trois constructeurs automobiles de Détroit, qui comprennent également Ford (NYSE 🙂 et la société mère de Chrysler, Stellantis (NYSE :).
Aux États-Unis, environ 25 000 membres du syndicat United Auto Workers (UAW) travaillant pour les trois constructeurs automobiles de Détroit mènent des grèves ciblées, tandis que les membres de l’UAW chez Mack Trucks, propriété du groupe Volvo (OTC :), ont débrayé lundi après avoir rejeté à une écrasante majorité une proposition de cinq Contrat d’un an.
Unifor a ratifié le mois dernier une nouvelle convention de trois ans avec Ford qui offrait des augmentations de salaire allant jusqu’à 25 % à plus de 5 600 travailleurs de ses installations canadiennes. Unifor, qui avait menacé de faire grève chez Ford, a réussi à parvenir à un accord de principe sans le faire.
Unifor a déclaré la semaine dernière que GM « résistait » à un certain nombre d’éléments importants de son accord avec Ford.
Le syndicat avait choisi l’entreprise comme deuxième cible de négociation des trois constructeurs automobiles de Détroit après Ford.
Les opérations canadiennes des Trois de Détroit sont beaucoup plus petites que leurs installations américaines, mais les trois constructeurs automobiles possèdent chacun des usines critiques au Canada.
« Tout ce que font nos membres, depuis les camions que nous assemblons, l’usine d’emboutissage que nous exploitons, les moteurs et les transmissions que nous construisons et les pièces que nous livrons, sont tous essentiels aux résultats financiers de GM », a déclaré Jason Gale, président des négociations principales d’Unifor GM. « Ce différend ne peut se terminer que d’une seule manière : GM acceptant les mêmes termes dans notre accord type avec Ford. »
Unifor a déclaré que les membres de l’usine d’assemblage CAMI de GM en Ontario étaient couverts par une convention collective distincte et ne se joindraient pas à la grève.