Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
Le système de surveillance radar de l’armée roumaine a identifié vendredi soir un accès non autorisé potentiel à son espace aérien national, déclenchant des alertes aux citoyens près de la frontière ukrainienne concernant d’éventuelles chutes d’objets aériens.
Vendredi soir, le Comité national des situations d’urgence a diffusé des messages d’alerte RO aux résidents roumains des comtés de Galați et de Tulcea, leur conseillant de se mettre à l’abri et, si cela n’est pas possible, de rester à l’écart des zones ouvertes exposées aux vents.
Le porte-parole du ministère de la Défense, Constantin Spînu, a déclaré qu’un groupe de drones avait été repéré vendredi soir en direction de Galați. Il s’agit du premier cas d’une menace aérienne potentielle signalée concernant une grande ville ; Galați est un port roumain important qui abrite environ 270 000 habitants.
Claudiu Sorin Gavril, préfet du département de Galați, a exhorté les citoyens à rester calmes, leur assurant que des unités de police surveillaient la zone. Lors d’une recherche de 10 kilomètres près de Galați, aucun objet suspect n’a été trouvé, a informé samedi le ministère de la Défense dans un communiqué.
En réponse aux préoccupations accrues en matière de sécurité, la Roumanie aurait renforcé ses systèmes de défense aérienne dans les villages situés le long du Danube et augmenté la présence de postes d’observation et de patrouilles militaires dans la région, a déclaré un haut responsable de la défense du ministère de la Défense. Reuters.
Les arrestations se sont multipliées depuis début septembre lorsque des débris de drones ont été découverts dans le village de Plauru et ses environs. A cette époque, le président Klaus Iohannis avait informé le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, du « nouveau développement » à la frontière orientale de l’OTAN, condamnant ce qu’il qualifiait d’« incident provoqué par les attaques russes contre les ports ukrainiens du Danube ». »
(Manuela Preoteasa, Sebastian Rotaru | Euractiv.ro)