Customize this title in frenchLe taux de la convention fiscale ne peut pas l’emporter sur le taux d’imposition de la distribution de dividendes: tribunal informatique

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Un banc spécial du Tribunal d’appel de l’impôt sur le revenu, Mumbai, a statué qu’un taux de convention fiscale ne peut pas remplacer le taux d’imposition sur la distribution de dividendes (DDT) prescrit en vertu de la loi sur l’impôt sur le revenu (IT).
Cela est principalement dû au fait qu’une société nationale qui verse le dividende est un résident de l’Inde et ne peut pas invoquer les dispositions de la convention fiscale tout en s’acquittant de son obligation en vertu de l’article 115-O de payer l’impôt sur le dividende qu’elle distribue.
Jusqu’au 31 mars 2020, les revenus de dividendes étaient exonérés entre les mains des actionnaires (y compris les actionnaires non résidents). La société résidente indienne versant le dividende devait supporter un DDT de 15% (plus majoration et cession applicables), sans avoir aucun recours au taux de la convention fiscale applicable à ses actionnaires non-résidents. L’objectif de l’introduction du DDT était la commodité administrative car il s’agissait d’un point d’imposition unique.
En 2019, le banc de Mumbai de l’ITAT dans l’affaire Total Oil India concernant l’année d’imposition 2016-17 a estimé que le DDT devait être considéré comme une obligation fiscale de la société qui verse les dividendes. Les bancs de Delhi et de Kolkata de l’ITAT avaient divergé sur ce point de vue. Le banc de Mumbai de l’ITAT s’est appuyé sur l’ordonnance de la Cour suprême dans l’affaire Godrej & Boyce Manufacturing Company.
Il a ensuite renvoyé la question à l’examen d’une formation spéciale. Le banc spécial composé de GS Pannuprésident; NV Vasudevanvice-président et Vikas Awasthy, membre judiciaire, ont souscrit jeudi à l’ordonnance antérieure de l’ITAT de Mumbai.



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