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Le 10 avril 1998, les dirigeants politiques ont signé l’Accord du Vendredi Saint, un accord de paix mettant fin en grande partie aux Troubles, un violent conflit de 30 ans entre les unionistes britanniques et les nationalistes irlandais en Irlande du Nord. J’ai écrit « The Comic Turn » pour souligner le 25e anniversaire de la signature.
—Stephen Sexton
Dans les jours sombres des cavernes
de tribus et de lances,
l’un de nous a fait
l’image d’une main
souffler ocre et cracher
à travers un tube en os.
Quelqu’un a été le premier
remarquer un chevron d’oies
vole avec cent piquants.
Quelqu’un a couru ses doigts
le long de la queue du cheval de son père
et pensé à la musique.
Mais aussi grossier ou fin
ou c’est ingénieux,
l’instrument n’est pas l’art.
Ces nombreuses générations,
la tragédie a été notre art :
la chanson fatalement imparfaite
d’une chèvre, le malheur se termine
de gens formidables et honnêtes
harcelé par les circonstances.
Ce qui nous décrit maintenant,
mieux que la tragédie,
est la comédie :
la chanson d’un village,
ses grandeurs ordinaires,
procès et chagrins privés;
une histoire de jeune
déconcerté par l’ancien,
par le joug scintillant de la tradition.
Dans la comédie, blague à part,
le passé dit oui à l’avenir,
les déguisements sont démêlés,
les guerriers sont pacifiés,
banquets, vin, mariages
suivre les amants dans l’histoire.
Quelle que soit la façon dont il joue,
nous connaissons la comédie par la façon dont
ça doit finir : le bonheur.
Et si c’est indéfini,
la trajectoire sûre est le bonheur,
soyons tous comédiens
qui lui sont destinés, qui improvisent,
qui l’aile sur le sabot
selon nos plus
règle d’or modeste, qui est
dire Oui et-? Oui et-?
tandis que toujours écoute.