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La présidence suédoise du Conseil a de nouveau retardé l’approbation formelle de la directive sur les énergies renouvelables (REDIII) alors qu’elle tente de résoudre une querelle menée par la France entre les pays sur le rôle de l’énergie nucléaire.
Mercredi, les ambassadeurs de l’UE devaient approuver REDIII, une partie intégrante du paquet phare du bloc Fit for 55 sur le climat qui vise à réduire les émissions de 55% d’ici 2030 et à porter la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique de l’UE à 42,5%.
Mais le vote a été reporté à vendredi pour donner aux pays de l’UE le temps de digérer une proposition de dernière minute de la présidence suédoise diffusée mardi soir destinée à apaiser la France, selon deux diplomates, qui ont obtenu l’anonymat pour parler franchement de la dynamique du pays.
Les capitales de l’UE et le Parlement sont parvenus à un accord provisoire sur le texte en mars, mais Paris a fait pression pour un rôle plus important pour son secteur atomique. Ces efforts ont agacé des pays sceptiques sur le nucléaire, dont le Luxembourg et l’Allemagne, ainsi que des pays auparavant favorables aux vues de la France. Plus tôt ce mois-ci, 10 pays de l’UE ont demandé à la présidence suédoise de trouver un accord « dès que possible ».
La présidence suédoise a déjà repoussé l’approbation de son texte de compromis le mois dernier par crainte que la France ne torpille le processus.
Le nouveau texte de compromis suédois ajoute un libellé au préambule non contraignant du texte qui permettrait un rabais pour certaines usines de production d’ammoniac existantes en atteignant un sous-objectif de l’industrie pour les énergies renouvelables, offrant une échappatoire limitée pour l’hydrogène dérivé de sources non renouvelables.
Lors de la réunion d’aujourd’hui, plusieurs ambassadeurs auprès de l’UE ont demandé si l’ajout tardif créerait des incertitudes juridiques et nécessiterait la réouverture des négociations avec le Parlement, ont déclaré les deux diplomates.
Le report d’un accord sur REDIII a des implications pour un dossier connexe sur les carburants d’aviation durables, ReFuelEU aviation. Cela devait être signé mercredi, mais a également été repoussé jusqu’à vendredi.