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Cette légère amélioration marque un renversement de la tendance baissière que connaît le climat des affaires en France depuis le début de l’année 2023.
Le climat des affaires en France a légèrement rebondi en décembre, grâce au regain d’optimisme des dirigeants du secteur du commerce de détail, mais est resté inférieur à sa moyenne historique, selon de nouvelles données de l’Office national des statistiques.
L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) a indiqué jeudi que l’indicateur du climat des affaires s’est établi à 98 en décembre, en hausse d’un point par rapport à novembre (97). Il reste toutefois deux points en dessous de sa moyenne de longue période, fixée à 100.
Malgré la légère amélioration en décembre, le climat des affaires en France est orienté à la baisse depuis début 2023 et ne dépasse plus sa moyenne historique depuis avril.
Par rapport à novembre, le climat des affaires dans le secteur du commerce de détail a notamment augmenté de quatre points, passant de 96 à 100.
Ce regain d’optimisme est « porté par les soldes d’opinion sur les effectifs prévus, les perspectives générales du secteur et les intentions de commandes », selon l’Insee.
Le climat des affaires dans l’industrie s’améliore également, quoique plus modestement (99 en novembre, 100 en décembre), les chefs d’entreprise interrogés par l’Insee jugeant « l’évolution récente de la situation » [their] production » de manière plus positive qu’auparavant.
Même tendance dans les services (passage de 99 à 100 sur un mois), où les dirigeants interrogés se montrent désormais plus optimistes sur « leurs perspectives d’affaires personnelles et celles du secteur », selon l’Insee.
Le climat des affaires dans le secteur de la construction reste inchangé à 102, soit deux points au-dessus de sa moyenne de long terme.
Le climat de l’emploi reste inchangé à 100.
« Cette stabilité est le résultat d’évolutions contrastées », souligne l’Insee, notant que, d’une part, les représentants du commerce de détail sont plus optimistes qu’auparavant quant aux effectifs récents et futurs du secteur ; en revanche, les dirigeants des entreprises de services sont désormais plus négatifs quant aux effectifs récents.