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© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Un arc-en-ciel est visible au-dessus des appartements à Wandsworth sur la Tamise alors que les prix de l’immobilier au Royaume-Uni continuent de baisser, à Londres, en Grande-Bretagne, le 26 août 2023. REUTERS/Kevin Coombs/Photo d’archives
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LONDRES (Reuters) – Les prêteurs britanniques ont approuvé plus de prêts hypothécaires en janvier qu’à aucun moment depuis octobre 2022, lorsque le marché immobilier s’est affaissé en raison de la crise du « mini-budget » de l’ancienne Première ministre Liz Truss, ajoutant aux signes de reprise de l’activité.
Les données de la Banque d’Angleterre publiées jeudi ont fait état de 55 227 approbations de prêts hypothécaires le mois dernier, contre 51 506 en décembre, selon les données. Un sondage Reuters auprès d’économistes faisait état de 52 000 approbations en janvier.
Plusieurs indicateurs du marché immobilier britannique, notamment les prix de l’immobilier, ont récemment indiqué une reprise de la croissance.
Pourtant, les économistes et les analystes du marché immobilier restent sceptiques quant au fait que cela représente le début d’une reprise plus durable.
Une enquête Reuters auprès d’analystes publiée jeudi montre que les prix de l’immobilier britannique devraient stagner cette année alors que l’économie dans son ensemble peine à produire une croissance significative.
Mais les données de la BoE ont montré une augmentation plus importante que prévu des prêts à la consommation, qui ont augmenté de 1,88 milliard de livres en termes nets, dépassant ainsi les prévisions de l’enquête Reuters qui tablaient sur une hausse de 1,6 milliard de livres.
Le taux de croissance annuel du crédit à la consommation est passé de 8,6 % en décembre à 8,9 % en janvier – le chiffre le plus élevé depuis août 2018, bien qu’il ait été gonflé par la forte hausse des prix à la consommation au cours de l’année dernière.
Les prix de l’immobilier au Royaume-Uni, comme dans de nombreux autres pays riches, ont bondi pendant la pandémie de COVID-19, augmentant de plus de 25 % selon les données officielles.
Mais les transactions ont fortement ralenti fin 2022 après que les plans budgétaires de Truss ont provoqué des troubles sur les marchés obligataires et fait grimper le coût des prêts hypothécaires. Les hausses des taux d’intérêt de la BoE ont également joué un rôle de frein jusqu’en 2023.