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La demande des consommateurs a chuté après deux mois de croissance améliorée du commerce de détail, ce qui suggère que les Européens ressentent toujours les conséquences du coût de la vie.
Le volume des ventes au détail de la zone euro a chuté de 1,1% au cours du mois de décembre, ont révélé les chiffres d’Eurostat.
Après la croissance de 0,3% enregistrée en novembre, les chiffres récents marquent une chute décevante en territoire négatif.
Par rapport à la même période de 2022, le chiffre de la fin de l’année dernière était en baisse de 0,8% et la moyenne pour l’ensemble de 2023 était en baisse de 1,8% par rapport à l’année précédente.
Après une forte baisse de la consommation au début de la pandémie de Covid-19, les ventes au détail ont rebondi plus tard en 2020.
Depuis, les variations ont été moins spectaculaires, et le chiffre de décembre représente la variation mensuelle la plus importante observée depuis la même période un an plus tôt, qui était encore une fois en baisse de 1,1 %.
Malgré cette tendance à l’échelle de la région, les résultats nationaux ont enregistré des tendances légèrement différentes.
En décembre 2023, de fortes baisses mensuelles du volume total du commerce de détail ont été enregistrées en Slovénie (-3,6 %) et au Luxembourg (-3,1 %).
De fortes augmentations ont été observées en Slovaquie (+2,0 %), en Croatie (+1,4 %) et au Portugal (+0,7 %).
Si l’on examine les variations par secteur de vente au détail, le volume des échanges de la zone euro a diminué de 6,2% pour les carburants automobiles et de 1,% pour l’alimentation, les boissons et le tabac, tandis qu’il a augmenté de 0,1% pour les produits non alimentaires.
La crise du coût de la vie n’est pas terminée
Les résultats les plus récents surviennent dans un contexte de ralentissement mais de pressions inflationnistes persistantes.
Même si les hausses de prix sont assouplissement en France et en Allemagneles deux plus grandes économies de la zone euro, la situation pour le reste de la zone est un peu plus complexe.
Selon les données publiées la semaine dernière, l’inflation dans l’ensemble de la zone euro a ralenti à 2,8 % en janvier, mais l’inflation sous-jacente a été plus élevée que ce que les experts prévoyaient.
Ce chiffre de base, qui ne tient pas compte de la volatilité des prix de l’énergie et des produits alimentaires, a ralenti de 3,4 % en décembre à 3,3 % en janvier.
Cela signifie que les prix ont augmenté à un rythme plus lent que le mois précédent, mais pas aussi lentement que les économistes l’avaient prévu, contribuant ainsi à la baisse de la demande des consommateurs.