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De violents combats ont fait rage mercredi dans le centre et le sud de Gaza alors que les craintes grandissaient d’une escalade régionale suite à une frappe à Beyrouth qui a tué l’un des principaux dirigeants du Hamas.
La frappe a été largement imputée à Israël, mais ses implications pour la guerre restent floues. Les responsables israéliens n’ont pas commenté la frappe de mardi qui a tué Saleh Arouri, le plus haut responsable du Hamas tué depuis le début de la guerre à Gaza il y a près de trois mois. Le contre-amiral Daniel Hagari, porte-parole de l’armée israélienne, a déclaré que « nous sommes prêts à faire face à n’importe quel scénario ».
L’attaque du Hamas le 7 octobre depuis Gaza contre le sud d’Israël a tué environ 1 200 personnes et quelque 240 autres ont été prises en otage. L’attaque aérienne, terrestre et maritime d’Israël à Gaza a tué plus de 22 100 personnes, dont les deux tiers sont des femmes et des enfants, selon le ministère de la Santé du territoire dirigé par le Hamas. Le décompte ne fait pas de différence entre les civils et les combattants.
La campagne israélienne a chassé environ 85 % de la population de Gaza de leurs foyers, forçant des centaines de milliers de personnes à se réfugier dans des abris surpeuplés ou dans des camps de tentes grouillants dans des zones sûres désignées par Israël et que l’armée a néanmoins bombardées. Un quart de la population de Gaza risque la famine, selon les Nations Unies, alors que les restrictions israéliennes et les violents combats entravent l’acheminement de l’aide.
— Un responsable du Hamas tué lors d’une frappe à Beyrouth figurait sur la liste des cibles israéliennes depuis des années.
— Des groupes militants confiants dans le renseignement américain ont utilisé le plus grand hôpital de Gaza dans leur campagne contre Israël : source AP.
— L’affaire de génocide sud-africaine contre Israël donne lieu à une bataille juridique aux enjeux élevés devant la plus haute juridiction de l’ONU.
— Zvi Zamir, ancien chef du Mossad qui avait mis en garde contre l’imminence d’une guerre au Moyen-Orient en 1973, décède à 98 ans.
— Retrouvez plus de couverture d’AP sur : https://apnews.com/hub/israel-hamas-war.
Voici ce qui se passe pendant la guerre :
BERLIN – L’Allemagne s’est jointe aux vives critiques des appels de deux ministres israéliens à la réinstallation des Palestiniens hors de Gaza.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Sebastian Fischer, a déclaré mercredi que Berlin, proche allié d’Israël, rejetait les commentaires des ministres Bezalel Smotrich et Itamar Ben Gvir « dans les termes les plus fermes » et qu’ils « ne sont ni utiles ni utiles ».
Il a souligné la position de l’Allemagne et de ses alliés du Groupe des Sept selon laquelle « il ne doit y avoir aucune expulsion des Palestiniens de Gaza, il ne doit y avoir aucune réduction territoriale de la bande de Gaza ».
Il a ajouté que « de notre point de vue, une solution à deux États reste le seul modèle durable permettant aux Israéliens et aux Palestiniens de vivre ensemble en paix ».
PARIS — Le président français Emmanuel Macron a mis en garde Israël contre l’idée d’un déplacement forcé des habitants de Gaza.
Lors d’un appel téléphonique mardi avec Benny Gantz, membre du cabinet de guerre israélien, Macron « a fait valoir que les déclarations relatives au déplacement forcé des Gazaouis étaient inacceptables et contredisaient la solution à deux États qui constitue la seule solution viable pour un retour à la paix et à la paix ». sécurité pour tous », a déclaré le bureau du président dans une lecture nocturne de l’appel téléphonique.
Macron a également mis en garde contre le risque d’extension du conflit, affirmant qu’il est « essentiel d’éviter toute attitude d’escalade, en particulier au Liban », indique le communiqué. « La France continuera à faire passer ces messages à tous les acteurs impliqués directement ou indirectement dans la zone », ajoute le texte.
WASHINGTON — L’administration Biden s’est prononcée contre les commentaires de deux ministres israéliens d’extrême droite qui ont récemment appelé à la réinstallation des Palestiniens en dehors de Gaza.
Dans un communiqué publié mardi, le porte-parole du Département d’État, Matthew Miller, a qualifié les propos des ministres israéliens Bezalel Smotrich et Itamar Ben Gvir d’« incendiaires et irresponsables ».
Dimanche, Smotrich, le ministre israélien des Finances d’extrême droite, a déclaré qu’Israël devrait « encourager la migration » depuis Gaza et rétablir les colonies juives sur le territoire, où il a retiré ses colons et ses soldats en 2005. Ben Gvir a fait des commentaires similaires sur la réinstallation des Palestiniens.
Miller a déclaré que les dirigeants israéliens, y compris le Premier ministre Benjamin Netanyahu, ont déclaré « à plusieurs reprises » aux dirigeants américains que « de telles déclarations ne reflètent pas la politique du gouvernement israélien ».
« Gaza est une terre palestinienne et restera une terre palestinienne, avec le Hamas qui n’a plus le contrôle de son avenir et sans aucun groupe terroriste capable de menacer Israël », a déclaré Miller.