Customize this title in frenchLes décideurs politiques de l’UE doivent conclure un accord sur une nouvelle loi sur le partage de données

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLes institutions de l’UE devraient parvenir à un accord politique sur la loi sur les données la semaine prochaine, avec des discussions en cours sur la question des secrets d’affaires, de la gouvernance, de la portée territoriale, de la sécurité des produits et du moment de l’application. La loi sur les données est une proposition législative phare visant à réglementer la manière dont les données industrielles sont accessibles et partagées. Le dossier est à la dernière étape du processus législatif, avec un accord attendu dès mardi prochain (27 juin) entre le Conseil de l’UE, le Parlement et la Commission dans les soi-disant trilogues. La présidence suédoise du Conseil des ministres de l’UE a diffusé mardi 20 juin un document actualisé donnant un aperçu des principaux changements et de la question politique en suspens pour demander un mandat de négociation actualisé lors d’une réunion des ambassadeurs auprès de l’UE, le COREPER, vendredi. Trilogues Data Act – où en est-on ? Les négociations interinstitutionnelles sur la loi européenne sur les données sont à un stade critique, avec des aspects fondamentaux tels que le partage de données et les secrets commerciaux toujours sur la table. Obligations de partage des données La loi sur les données introduit le principe selon lequel les utilisateurs d’objets connectés tels que les réfrigérateurs intelligents doivent pouvoir accéder aux données qu’ils contribuent à générer ou les partager avec un tiers. Le chapitre réglementant le partage de données entre les clients et entre les entreprises a maintenant été largement approuvé avec seulement des modifications mineures pour mieux définir « les données entrant dans le champ d’application du règlement et clarifier les droits et obligations des différents acteurs, », lit-on dans le document. L’amendement le plus significatif est la distinction introduite par le Parlement européen entre les « données produit », les données générées par l’utilisation d’un produit connecté, et les « données de service associées », qui représentent la numérisation des actions des utilisateurs. Dans le même temps, le concept horizontal de « données facilement disponibles » a été maintenu pour indiquer les données qui peuvent être obtenues sans un effort disproportionné. Secrets commerciaux Comment protéger les informations commercialement sensibles lors de la divulgation de données à une autre entreprise reste un point sensible. Cependant, des progrès significatifs ont déjà été réalisés dans la fusion des positions des gouvernements de l’UE et des députés européens. La présidence suédoise demande aux représentants nationaux de faire preuve de souplesse pour introduire le concept de « détenteur du secret commercial » afin de distinguer les situations dans lesquelles l’organisation contrôlant les données, le détenteur des données, n’est pas la même que celle concernée par les informations commercialement sensibles. En outre, les États membres sont invités à convenir de limiter la possibilité pour les détenteurs de données de refuser les demandes d’accès aux données à des circonstances exceptionnelles. Commutation cloud La loi sur les données comprend également des mesures visant à supprimer les obstacles au passage d’un fournisseur de services cloud à un autre. « La révision de ce chapitre visait à rendre plus claire et plus largement applicable la disposition relative au basculement effectif, conformément au mandat du COREPER », lit-on dans la note de la présidence. Certains amendements du Parlement européen ont été repris, introduisant notamment une obligation pour les fournisseurs de cloud de ne pas imposer d’obstacles ou de les supprimer, s’ils existent, qui empêcheraient les clients de dégrouper différents services cloud. Les députés ont également inclus des obligations d’information pour les fournisseurs de cloud concernant les conditions de changement et les limitations techniques associées, ainsi qu’un registre à jour détaillant les structures et les formats de données. En outre, un nouvel article exige que toutes les parties impliquées dans le processus de commutation collaborent de bonne foi pour un transfert de données rapide et maintiennent la continuité du service. Gouvernance En ce qui concerne l’architecture de gouvernance, les députés et les pays de l’UE ne s’entendent pas sur la question de savoir s’il devrait y avoir un point de contact unique, le coordinateur des données, pour toutes les mesures d’application de ce règlement au niveau national. La présidence considère que certaines concessions doivent être faites, en attribuant des tâches transversales supplémentaires à une autorité compétente, qui pourraient être liées aux secrets d’affaires, au partage de données avec des organismes publics ou à l’ensemble de la loi sur les données. Portée territoriale L’une des questions sur lesquelles les colégislateurs de l’UE sont les plus éloignés concerne le champ d’application géographique du règlement, le Conseil de l’UE souhaitant le rendre applicable quel que soit l’endroit où se trouve le destinataire des données et le Parlement sceptique quant à son application en dehors du UE. La présidence a demandé aux États membres s’ils étaient disposés à évoluer vers le champ d’application plus limité des députés, qui permet aux détenteurs de données de refuser les demandes d’accès aux données d’entités établies en dehors de l’Europe. Sécurité des produits Le mandat du Parlement européen comprend une disposition permettant aux utilisateurs et aux détenteurs de données de convenir contractuellement de restreindre l’accès, l’utilisation ou le partage ultérieur de données, en particulier dans des situations susceptibles de nuire gravement à la santé et à la sécurité des personnes. Aucune disposition de ce genre ne figurait dans le texte du Conseil, bien que la question ait été débattue. La présidence demande aux États membres s’ils seraient disposés à l’accepter. Partage de données B2G La loi sur les données permet aux organismes publics de demander leurs données à des entreprises privées dans des circonstances spécifiques. Le partage de données personnelles se limitait à répondre à une urgence publique, la Commission européenne étant chargée d’évaluer cette disposition. Date d’application Autre point à régler, l’entrée en application du règlement, le Parlement réclamant un délai de 18 mois et le Conseil en demandant 24. [Edited by Alice Taylor] En savoir plus avec EURACTIV !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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