Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words La commission de l’environnement du Parlement européen a approuvé des accords provisoires avec les gouvernements sur une demi-douzaine de textes clés de la législation environnementale, alors que les législateurs se dépêchent de finaliser autant de lois sur le Green Deal que possible avant les élections européennes. PUBLICITÉLa législation sur la pollution automobile, les émissions de méthane, les téléphones verts, l’étiquetage des peintures et des pesticides, les émissions industrielles, le transport des déchets et les déchets électroniques a été approuvée par les députés européens, amenant une série de politiques clés du Green Deal à l’arrivée avant les élections européennes prévues en juin.La commission de l’environnement du Parlement européen a approuvé jeudi (11 décembre) une demi-douzaine de textes juridiques provisoires convenus entre députés européens et gouvernements – des accords négociés à la fin de l’année dernière par l’Espagne, qui présidait à l’époque le Conseil de l’UE.7 eurosLes législateurs du groupe des Verts ont voté contre la loi la plus controversée, celle des limites de pollution pour les voitures et camionnettes neuves, tout comme la moitié des sociaux-démocrates membres de la commission. Ils se sont opposés au gel des seuils pour les principaux polluants atmosphériques comme les oxydes d’azote (NOx) et le dioxyde de soufre (SO2) aux niveaux actuels.La loi, finalement soutenue par 55 voix contre 26, inclut pour la première fois des limites sur les particules nocives produites par l’usure des freins et des pneus, qui sont en passe de devenir la principale source de pollution de l’air des voitures lorsque le dioxyde de carbone des tuyaux d’échappement (CO2) sont interdites à partir de 2035. Cette date marque la fin probable du moteur à combustion interne au profit des voitures entièrement électriques.MéthaneBien que le CO2 soit le plus souvent lié au changement climatique, le principal ingrédient du gaz naturel, le méthane, est en réalité un contributeur bien plus puissant. La commission de l’environnement a approuvé un nouveau règlement sur le méthane qui interdit l’acheminement, l’évacuation et le torchage – tous les moyens par lesquels le gaz peut pénétrer dans l’atmosphère – et oblige les entreprises de combustibles fossiles à surveiller et à signaler les fuites.Etant donné que la majeure partie du gaz naturel brûlé dans l’UE provient de l’extérieur du bloc, à partir de 2027, les nouveaux contrats d’importation dans l’UE ne seront autorisés que si le fournisseur suit le même protocole de surveillance.Climate Action Network Europe, un groupe de pression, a salué la nouvelle loi sur le méthane comme une « première étape positive », mais a critiqué le retard de trois ans dans lequel la Commission européenne rédigera des règles détaillées pour un seuil maximum d’intensité de méthane. »Retarder l’action et permettre que les émissions de méthane des producteurs non européens, qui constituent la plus grande part du gaz consommé dans l’UE, restent dangereusement élevées jusqu’en 2030, pose un risque sérieux pour notre climat », a déclaré Esther Bollendorff, experte en politique gazière du groupe.ÉcoconceptionLes règles européennes sur la durabilité des produits du quotidien se concentraient auparavant principalement sur l’efficacité énergétique, mais un nouveau règlement sur l’écoconception des produits durables, également approuvé jeudi, les étend pour couvrir la durabilité et l’empreinte carbone, ainsi que de nouveaux produits tels que les téléphones portables.La nouvelle loi exige que les produits durent plus longtemps et soient plus faciles à réparer, moderniser et recycler, et interdit la destruction des chaussures et des vêtements invendus.« D’une portée et d’une ambition considérables, ces nouvelles règles marquent le début d’une ère de conception durable », a déclaré Valeria Botta, spécialiste de l’économie circulaire à l’Environmental Coalition on Standards, un groupe de campagne.DéchetsLes députés ont approuvé deux textes législatifs distincts sur les déchets. Le nouveau règlement sur les transferts de déchets vise à garantir que les pays de l’UE assument la responsabilité des déchets qu’ils produisent, mais en interdisant pratiquement les exportations vers d’autres États membres. Face aux inquiétudes concernant les déchets plastiques qui finissent dans les décharges ou les fours des pays en développement, les nouvelles règles interdisent également les exportations hors du bloc à moins qu’elles ne répondent à des normes strictes de gestion des déchets.La commission a également convenu de réviser la directive sur les déchets d’équipements électriques et électroniques (DEEE), qui réglemente l’un des types de déchets qui connaissent la croissance la plus rapide. Provisoirement acceptés par les députés européens et les négociateurs gouvernementaux en novembre, les amendements répondent à une décision de justice de l’UE et précisent que les producteurs doivent payer le coût des panneaux photovoltaïques vendus à partir de 2012.Émissions industriellesPUBLICITÉLes députés ont également présenté des projets sur le problème apparemment insoluble de la pollution atmosphérique. Une nouvelle directive sur les émissions industrielles applique les normes d’émissions les plus strictes scientifiquement réalisables aux installations industrielles, y compris les mines et les usines de batteries. Une âpre dispute qui a éclaté au cours des négociations a vu les législateurs rejeter la proposition de la Commission européenne d’inclure les élevages de bovins intensifs – sources de méthane et d’ammoniac, entre autres – dans le champ d’application. Il n’existe pas d’exonération de ce type pour les grands élevages de porcs ou de volailles.La réforme vise également à accroître la transparence et la participation du public aux décisions concernant l’autorisation et l’exploitation des installations industrielles, avec des amendes pouvant atteindre 3 % du chiffre d’affaires annuel de l’UE pour les pires contrevenants.Étiquetage chimiqueUne mise à jour des règles de l’UE sur la classification, l’étiquetage et l’emballage des produits chimiques, qui stipulent, par exemple, quelle doit être la taille des avertissements sur les peintures et les pesticides, a également été saluée. Au cours des discussions, les députés ont ajouté une interdiction de l’utilisation d’« allégations vertes » pour les substances ou mélanges classés comme dangereux.Après l’approbation de la commission, un vote de confirmation par l’ensemble du Parlement ne sera probablement qu’une simple formalité. La Belgique, qui a pris la présidence du Conseil de l’UE ce mois-ci, s’empresse de boucler un triplé des dossiers restants du Green Deal en négociant des compromis similaires sur les déchets d’emballages, les émissions de CO2 des camions et des bus, et en certifiant l’élimination des gaz à effet de serre de l’atmosphère.PUBLICITÉ
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