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- Les travaillistes ne sont allés que jusqu’à soutenir des « pauses humanitaires immédiates » pour l’aide
Les leaders travaillistes sont prêts à démissionner en masse sous peine d’être licenciés afin de voter aujourd’hui en faveur d’un amendement du SNP appelant à un cessez-le-feu à Gaza.
Les ministres de l’ombre ne sont pas prêts à soutenir un amendement distinct déposé par Sir Keir Starmer qui condamne la conduite d’Israël dans la guerre, mais ne va pas jusqu’à soutenir un cessez-le-feu.
Les dirigeants travaillistes ont rencontré hier soir plus d’une douzaine de députés qui ont appelé à la cessation des hostilités dans le territoire assiégé, où plus de 11 000 personnes ont été tuées lors de l’attaque de Tsahal.
Mais nombreux sont ceux qui sont encore prêts à mettre leur rôle en danger en se rangeant du côté du SNP, qui a déposé un amendement à la Chambre des Communes appelant le Royaume-Uni à se joindre à la communauté internationale pour faire pression en faveur d’un cessez-le-feu immédiat.
Les travaillistes sont allés seulement jusqu’à soutenir des « pauses humanitaires immédiates » pour laisser entrer l’aide.
Les ministres fantômes ne sont pas prêts à soutenir un amendement distinct déposé par Sir Keir Starmer qui condamne la conduite d’Israël dans la guerre, mais ne va pas jusqu’à soutenir un cessez-le-feu.
La semaine dernière, le porte-parole Imran Hussain a démissionné afin de pouvoir « plaider vigoureusement en faveur d’un cessez-le-feu » depuis l’arrière-ban.
La semaine dernière, le porte-parole Imran Hussain a démissionné afin de pouvoir « plaider vigoureusement en faveur d’un cessez-le-feu » depuis l’arrière-ban.
D’autres députés de premier plan ont jusqu’à présent choisi de rester à leur poste et de tenter de déplacer le leadership de l’intérieur.
Un porte-parole travailliste a déclaré que l’amendement du parti reflète les inquiétudes concernant « l’absence de libération d’otages, la quantité insuffisante d’aide et de services publics entrant et distribués, l’ampleur des pertes civiles à Gaza et… la violence en Cisjordanie ».
Une source du parti a déclaré : « Des démissions ou des licenciements massifs pourraient bien se produire. Cela donne l’impression que les députés de premier plan ont l’air idiots s’ils réclament un cessez-le-feu depuis tout ce temps et qu’ils ne soutiennent pas la motion.
Une autre source a ajouté que les ministres fantômes « souhaitent soit un vote libre, soit que le parti fasse volte-face et soutienne un cessez-le-feu ».