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Un certain nombre d’États américains envisagent d’interdire les produits cosmétiques contenant des substances potentiellement nocives connues sous le nom de PFAS ou « produits chimiques pour toujours ». Le Sénat de l’État du Vermont a approuvé plus tôt cette semaine une législation interdisant aux fabricants de vendre ou de distribuer tout produit destiné aux consommateurs contenant des substances perfluoroalkyles et polyfluoroalkyles, ainsi que plusieurs autres produits chimiques.
Le Vermont a rejoint la Californie, le Colorado et le Maryland qui ont déjà imposé les restrictions qui entreront en vigueur en 2025.
Les produits tels que le déodorant, le maquillage, le shampoing, les teintures capillaires et la crème solaire, entre autres, contiennent généralement les produits chimiques nocifs mentionnés. Selon des rapports, ces substances sont largement utilisées par l’industrie chimique pour leur résistance à long terme aux températures extrêmes et à la corrosion.
Cependant, on sait que leur utilisation augmente le risque de cancer, augmente le taux de cholestérol, retarde le développement chez les enfants, réduit la fonction du système immunitaire et endommage des organes comme le foie et la thyroïde.
L’UE envisage également l’interdiction
Outre les États-Unis, l’Union européenne (UE) envisage également une proposition visant à interdire les PFAS. Le Danemark, la Suède, l’Allemagne, les Pays-Bas et la Norvège, un État non membre de l’UE, collaborent à la proposition conjointe et, si elle est adoptée, elle deviendra la réglementation la plus complète de l’industrie chimique du bloc.
« Une interdiction des PFAS réduirait les quantités de PFAS dans l’environnement à long terme. Cela rendrait également les produits et les processus plus sûrs pour les humains », lit-on dans la déclaration commune.
« Vous pouvez trouver des PFAS chez les pingouins en Antarctique, chez les ours polaires en Arctique, même dans l’eau de pluie au Tibet. »
Les rapports indiquent que les coûts globaux de santé liés à l’exposition aux PFAS en Europe se situent entre 55 et 90 milliards de dollars. Même si une interdiction est mise en place, l’accumulation de PFAS dans l’environnement se poursuivra pendant plusieurs années, car les déchets libèrent encore les molécules nocives.
Récemment, le parlement français a adopté une loi interdisant aux influenceurs de promouvoir la chirurgie esthétique sur les réseaux sociaux tout en les obligeant à étiqueter les images lorsque des filtres ou Photoshop ont été utilisés.
Selon le ministre français des Finances, Bruno Le Maire, le non-respect des réglementations strictes pourrait entraîner deux ans de prison et 32 515 $ (30 000 €) d’amende. De plus, les influenceurs condamnés ne seront pas autorisés à utiliser les réseaux sociaux pour poursuivre leur carrière.
(Avec les contributions des agences)