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Les exportations de pétrole brut irakien reprendront samedi à partir de l’oléoduc nord qui traverse la Turquie, a annoncé jeudi le ministère irakien du Pétrole.
Environ 450 000 barils de pétrole ont été piégés dans la région kurde d’Irak fin mars après que la Chambre de commerce internationale a statué sur une plainte de longue date de Bagdad contre l’exportation en solo par la région.
Le 4 avril, un accord a été conclu entre Bagdad et Erbil pour permettre au gouvernement fédéral de commercialiser le pétrole produit dans la région kurde. Bagdad et Ankara avaient travaillé pour aplanir les obstacles techniques.
Jeudi, les autorités turques ont déclaré à l’Irak que les exportations via le port turc de Ceyhan reprendraient samedi, a déclaré le ministre irakien du Pétrole Hayan Abdel Ghani dans le communiqué.
M. Abdel Ghani a déclaré que l’Organisation fédérale de commercialisation du pétrole avait finalisé tous les accords avec les sociétés internationales pour acheter le pétrole.
Le communiqué ne donne pas de détails sur le nombre de barils qui seront expédiés.
L’accord d’avril stipule que 400 000 barils de pétrole par jour seront exportés du Kurdistan et traités par Somo. Pour la première fois, le Kurdistan aura un représentant à Somo.
Un comité composé de deux représentants du ministère du Pétrole et du ministère des Ressources naturelles du gouvernement régional du Kurdistan supervisera la commercialisation du pétrole kurde jusqu’à ce que le budget de cette année soit approuvé.
Les revenus pétroliers seront déposés sur un compte bancaire central, ou dans une autre banque, et seront supervisés par Bagdad, mais seront sous le contrôle du GRK. Bagdad aura accès à l’audit du compte.
Le différend sur qui a le droit de développer les ressources pétrolières et gazières dans la région kurde a été l’une des questions épineuses qui ont marqué l’Irak post-Saddam Hussein après l’invasion menée par les États-Unis en 2003.
Les Kurdes avaient déclaré que la constitution irakienne de 2005 leur donnait le droit de signer des accords avec des compagnies pétrolières et des États sans consulter Bagdad.
Mais Bagdad a soutenu que la région n’avait pas le droit de signer des accords et a déclaré que les exportations devaient passer par des pipelines gérés par l’État et être commercialisées par Somo.
Mis à jour : 11 mai 2023, 21:00