Customize this title in frenchLes Grecs envisagent d’augmenter le seuil du Parlement après le fiasco de « l’extrême droite »

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words

Les décideurs politiques à Athènes envisagent d’augmenter le seuil d’entrée d’un parti politique au parlement, car la présence de deux nouveaux groupes d’extrême droite dans le mandat actuel a soulevé des sourcils.

Le seuil pour entrer au parlement grec est actuellement de 3 %. Des articles de presse grecs suggèrent maintenant que les politiciens traditionnels d’Athènes envisagent sérieusement de l’augmenter à 5%.

La composition du nouveau parlement après les élections de juin a causé des maux de tête aux politiciens traditionnels.

Huit partis ont réussi à franchir le seuil des 3 %, dont quatre à la marge.

Parmi les quatre se trouve « The Spartans », un groupe d’extrême droite lié à l’ancien néo-nazi « Golden Dawn », un parti qualifié d’organisation criminelle par les tribunaux grecs.

Avant les élections, le parti au pouvoir de centre-droit Nouvelle Démocratie a tenté d’empêcher une Aube dorée « déguisée » de se présenter aux élections par une loi, mais a massivement échoué à le faire, attirant les critiques de l’opposition de gauche.

L’extrême droite « sombre » nuage le ciel grec

Les conservateurs grecs sont sortis vainqueurs du second tour des élections dimanche, ce qui leur a donné une majorité absolue historique, mais avec la poursuite de l’effondrement de l’opposition de gauche, combiné à la montée de l’extrême droite, les ténèbres sont désormais projetées…

Un autre est « Le Niki » (victoire), qui selon la presse grecque, reçoit le soutien financier d’organisations para-religieuses ou même de certains hommes d’affaires russes.

La « Solution grecque » pro-russe, affiliée aux Conservateurs et réformistes européens (ECR) au Parlement européen, a également fait son entrée à la Maison grecque.

Les critiques suggèrent que la composition du nouveau parlement crée une situation chaotique avec une opposition fragmentée et une politique attendue de « mauvaise qualité » en raison de la nature des programmes des groupes politiques.

Officiellement, le gouvernement n’admet pas qu’il y ait une discussion pour changer le seuil, cependant, plusieurs analystes maintiennent la question brûlante à l’ordre du jour.

Les experts de la Constitution sont également divisés sur la question de savoir si une telle mesure serait légale.

Pour être mis en œuvre lors des prochaines élections, toute modification de la loi électorale nécessite une majorité des 2/3, soit 200 voix au parlement de 300 sièges.

Les rapports de presse suggèrent qu’il serait difficile pour la proposition de passer par la composition actuelle du parlement.

(Sarantis Michalopoulos | EURACTIV.com)

En savoir plus avec EURACTIV



Source link -57