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© Reuter. Un Airbus A330-200 de la compagnie aérienne Air Transat décolle à Colomiers près de Toulouse, France, le 10 juillet 2018. REUTERS/Regis Duvignau/photo d’archives
Par Allison Lampert et Shivansh Tiwary
(Reuters) – Les agents de bord d’Air Transat ont rejeté un accord de principe avec le transporteur de loisirs canadien, a déclaré mardi leur syndicat, soulevant de nouvelles revendications pour des salaires plus élevés et la menace d’une grève à la fin de la haute saison des voyages des Fêtes.
Le syndicat qui représente 18 500 agents de bord au Canada a déclaré que l’une des principales raisons de l’échec de l’accord était que les augmentations ne parvenaient pas à suivre le coût de la vie plus élevé.
Les syndicats de l’aérospatiale et d’autres secteurs réalisent des gains en termes de salaires dans un contexte de tensions sur le marché du travail et d’inflation croissante qui a rongé les portefeuilles.
Les agents de bord au Canada et aux États-Unis tentent particulièrement de mettre fin à la pratique consistant à ne pas les rémunérer pour le temps passé à l’embarquement et à l’attente à l’aéroport avant et entre les vols.
Transat et le syndicat représentant ses 2 100 membres d’équipage de cabine reprennent les négociations cette semaine après que 98 % des membres votants ont rejeté l’entente conclue en décembre, indique un communiqué de presse du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP).
« Etant donné le mécontentement particulièrement élevé des membres, il est toujours possible que le syndicat donne un préavis de grève », indique le communiqué du SCFP, confirmant un précédent article de Reuters qui citait un préavis interne adressé au personnel de cabine.
Fin novembre, les agents de bord de Transat ont voté en faveur d’un mandat leur permettant de faire grève avec un préavis de 72 heures. La grève la plus précoce possible ne pourrait avoir lieu que vendredi, bien que le préavis n’ait pas encore été donné.
« Nous sommes déçus de ce résultat, car nous étions confiants que l’entente de principe serait acceptée par la majorité de nos agents de bord », a déclaré Julie Lamontagne, porte-parole de Transat, dans un communiqué. « Nous retournons à la table des négociations et notre objectif demeure de trouver un terrain d’entente le plus rapidement possible. »
Le mois dernier, les agents de bord de Southwest Airlines (NYSE 🙂 ont voté contre un contrat de cinq ans qui aurait fait d’eux le personnel de cabine le mieux payé du secteur, mais qui n’incluait pas de compensation pour le temps d’embarquement.
L’entente avec Transat prévoyait des augmentations salariales d’environ 18 % sur cinq ans, ont indiqué trois sources proches du dossier.
Et selon les documents d’information du personnel de cabine consultés par Reuters, le contrat, maintenant rejeté, aurait payé aux agents de bord le salaire horaire fédéral minimum de 16,65 $ CA pour une heure actuellement non payée, avant les vols continentaux.
À l’heure actuelle, la plupart des agents de bord sont rémunérés uniquement pour la durée pendant laquelle l’avion est en mouvement. Delta Air Lines (NYSE 🙂 est le seul transporteur américain à payer ses agents de bord pendant l’heure d’embarquement.