Customize this title in frenchLes négociateurs de l’UE parviennent à un accord sur une nouvelle loi controversée sur la nature

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Les représentants des trois institutions européennes sont parvenus jeudi soir à un accord sur de nouvelles règles européennes controversées visant à stimuler la restauration des terres dégradées.

Après plus de huit heures d’intenses discussions, les négociateurs ont pu sortir des principales impasses sur le dossier controversé du Green Deal.

Malgré les fortes résistances du Parti populaire européen de centre-droit, l’accord final comprend l’obligation de restaurer certaines terres agricoles, mais ne fixe pas d’objectifs chiffrés pour y parvenir. Il propose également de réhumidifier 30 pour cent des tourbières asséchées d’ici 2030, mais ajoute que cet objectif devrait « rester volontaire » pour les agriculteurs et les propriétaires fonciers privés.

Le principal eurodéputé sur le texte, César Luena, du groupe de centre-droit Socialistes & Démocrates, a déclaré à POLITICO qu’il s’agissait d’un « bon accord » et qu’il était convaincu qu' »une large majorité » des groupes politiques du Parlement le rallierait, y compris le PPE. qui a fait campagne avec acharnement contre la législation.

L’accord exige également que les pays de l’UE donnent la priorité aux mesures de restauration dans les sites Natura 2000 déjà protégés d’ici 2030 et leur demande de mieux se coordonner entre eux lorsqu’ils mettent en œuvre des efforts de conservation des écosystèmes marins.

Le texte final introduit une clause de « pause d’urgence » qui peut être activée par la Commission européenne en cas de crise alimentaire, permettant aux pays de l’UE de suspendre la mise en œuvre des nouvelles règles pendant un an. Il indique également qu’aucun argent supplémentaire ne devrait être prélevé sur la politique agricole commune ou la politique commune de la pêche pour financer des mesures de restauration, et demande à la Commission de proposer de nouvelles options de financement pour aider les pays membres à appliquer la nouvelle législation.

L’accord politique va maintenant passer par un vote final au Parlement et au Conseil de l’UE avant que la législation puisse entrer en vigueur.

Mais il n’est pas encore clair si le PPE peut soutenir l’accord. La chef de file du groupe, Christine Schneider, a déclaré qu’elle devait retourner dans son groupe pour en discuter.



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