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Les négociations pour l’adhésion de l’Ukraine à l’Union européenne (UE) devraient débuter cette année, a déclaré lundi la Première ministre estonienne Kaja Kallas.
Kiev a lancé une offre pour rejoindre le bloc commercial le plus riche du monde l’année dernière, à la suite de l’invasion russe.
Il y a un enthousiasme pour l’adhésion de l’Ukraine dans certaines capitales de l’UE, malgré les inquiétudes que cela pourrait prendre des années, voire des décennies.
« Nous espérons que l’Ukraine pourra entamer des négociations d’adhésion avec l’UE cette année », a déclaré Kallas.
Cependant, elle a admis que ce serait un « processus difficile », ajoutant que l’Ukraine doit « satisfaire à 100% des conditions » fixées par Bruxelles.
« Je pense que vous devriez saisir cette opportunité, cette fenêtre, pour entreprendre des réformes difficiles. »
Pour rejoindre l’UE, un pays doit remplir certains critères économiques, politiques et sociaux, en plus de s’engager envers les principes démocratiques.
En proie à de profonds problèmes structurels – notamment la corruption – les experts préviennent que l’Ukraine pourrait mettre de nombreuses années à se préparer.
Kallas s’est exprimé aux côtés du président ukrainien Volodymyr Zelenskyy, lors d’une visite à Jytomyr, dans l’ouest de l’Ukraine. Il a qualifié leurs discussions de « très fructueuses ».
L’Estonie est un fervent partisan de l’Ukraine contre Moscou, fournissant une aide militaire et financière, et accueillant plus de 40 000 réfugiés ukrainiens.
Les entretiens entre les deux dirigeants ont porté sur « les armes, munitions et [military] formation », selon Kallas, qui se rendait en Ukraine pour la première fois depuis la victoire écrasante de son parti aux élections le mois dernier.
Elle a exhorté les autres pays européens à faire preuve de « détermination » et de « rapidité » dans la fourniture d’armes à Kiev alors qu’elle se prépare à une éventuelle contre-offensive au printemps.
En mars, l’Ukraine a déclaré avoir mis en œuvre les réformes exigées par Bruxelles, notamment pour lutter contre le fléau endémique de la corruption.
Kiev a obtenu le statut de candidat en juin 2022, quatre mois après que les chars russes ont traversé la frontière.