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Les procédures judiciaires ont commencé près de neuf mois après le massacre qui a choqué la Serbie.
Un procès s’est ouvert lundi à Belgrade, en Serbie, pour les parents d’un adolescent accusé d’avoir tué 10 personnes et en avoir blessé six lors d’une fusillade massive dans son école en mai dernier.
Le tireur présumé, Kosta Kecmanovic, 13 ans, a tué neuf camarades étudiants, un agent de sécurité et en a blessé six autres dans un déchaînement qui a laissé la nation des Balkans sous le choc.
Kecmanovic est depuis interné dans un établissement psychiatrique. En raison de son âge, il ne peut être tenu pénalement responsable en vertu du droit serbe.
Cependant, ses parents sont accusés d’« acte grave contre la sécurité générale » pour avoir prétendument omis de sécuriser l’arme à feu et les munitions utilisées lors de cet incident tragique.
Malgré les demandes des avocats de la défense visant à obtenir la publicité du procès, la Haute Cour de Belgrade a opté pour un procès à huis clos.
Des accusations supplémentaires ont été déposées contre le père de Kecmanovic, notamment l’allégation selon laquelle il aurait entraîné le garçon à utiliser des armes à feu sans mesures de sécurité appropriées au domicile familial.
Le gérant d’un stand de tir et un instructeur font également face à des accusations.
La fusillade dans une école de Belgrade, le 4 mai, a suscité une horreur généralisée dans tout le pays. Une autre fusillade massive s’est produite dans le centre de la Serbie le lendemain, faisant huit morts et 14 blessés.
Ces deux incidents ont donné lieu à des mois de protestations contre le président serbe Aleksandar Vucic, accusé d’entretenir une culture de violence dans une nation marquée par les conflits traumatisants des années 1990.
La Serbie possède l’un des taux de possession d’armes les plus élevés au monde, avec un nombre important d’armes provenant des conflits des années 1990.