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Les parties belligérantes soudanaises ont signé jeudi soir un engagement sur des directives pour autoriser l’aide humanitaire dans le pays, les pourparlers étant toujours en cours pour parvenir à un cessez-le-feu, ont déclaré des responsables américains.
Des représentants de l’armée et des forces paramilitaires, qui se battent depuis près d’un mois, ont signé l’accord dans la ville saoudienne de Djeddah sur une « déclaration d’engagement à protéger les civils du Soudan », a déclaré un responsable américain impliqué dans les pourparlers.
L’accord engage les deux parties en termes généraux à laisser entrer l’aide humanitaire, à permettre le rétablissement de l’électricité, de l’eau et d’autres services de base, à retirer les forces de sécurité des hôpitaux et à organiser « l’inhumation respectueuse » des morts.
Des négociations sont toujours en cours pour parvenir à une nouvelle trêve temporaire pour permettre l’aide, avec une proposition sur la table d’arrêter les combats pendant 10 jours, a déclaré le responsable américain, sous couvert d’anonymat.
« Ce n’est pas un cessez-le-feu. Il s’agit d’une affirmation de leurs obligations en vertu du droit international humanitaire, en particulier en ce qui concerne le traitement des civils et la nécessité de créer un espace pour que les humanitaires puissent opérer », a déclaré le responsable.
« Nous espérons, avec prudence, que leur volonté de signer ce document créera un élan qui les forcera à créer l’espace » pour apporter des secours.
Khartoum brûle au milieu des combats entre les forces de deux généraux rivaux au Soudan. AFP
Mais le responsable a ajouté que les deux parties restaient « assez éloignées » dans les discussions.
Le responsable a exprimé l’espoir que l’engagement humanitaire rassurerait également les fournisseurs d’aide.
Le Programme alimentaire mondial de l’ONU a déclaré que des millions de dollars de nourriture avaient été pillés à Khartoum.
Les émissaires des généraux belligérants – le chef de l’armée, le général Abdel Fattah Al Burhan et le commandant paramilitaire, le général Mohamed Dagalo – se réunissent depuis samedi à Djeddah pour des « pourparlers de pré-négociation » avec la participation des États-Unis et de l’ONU.
Le haut responsable de l’aide de l’ONU, Martin Griffiths, avait présenté des propositions à Djeddah dans lesquelles les deux parties garantiraient un passage sûr pour l’aide humanitaire.
Mis à jour: 11 mai 2023, 23h21