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Washington (AFP) – L’Organisation des États américains (OEA) a appelé vendredi le Nicaragua à « cesser toutes les violations des droits de l’homme » et à libérer ses prisonniers politiques, dans une résolution adoptée à l’unanimité lors de sa réunion annuelle à Washington.
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Les Nations Unies et les gouvernements occidentaux ont accusé à plusieurs reprises le gouvernement du président Daniel Ortega de violations des droits de l’homme et de tentative illégale d’écraser toute opposition.
Des centaines de personnes ont été arrêtées au Nicaragua à la suite de manifestations antigouvernementales en 2018.
Plusieurs prétendants à Ortega ont été emprisonnés avant les élections présidentielles de 2021, tandis que plus de 2 000 associations, ONG et syndicats ont été interdits d’activité depuis 2020.
La résolution de l’OEA – appuyée par les États-Unis, le Canada, le Chili et le Costa Rica – demande au Nicaragua de « mettre fin à toutes les violations des droits de l’homme et de respecter les droits civils et politiques, ainsi que les libertés religieuses et l’état de droit, et de s’abstenir de toute forme d’intimidation » contre la presse, les communautés religieuses et les ONG.
Il exhorte également le Nicaragua à « libérer immédiatement et sans condition tous les prisonniers politiques » et à « abroger les règles » qui privent les opposants de leur nationalité, dont plus de 200 personnes exilées cette année aux États-Unis.
Le Nicaragua a demandé à quitter l’organisation, une décision qui devrait être finalisée en novembre, pour protester contre le refus de l’OEA de reconnaître les élections de 2021.
L’OEA a déjà adopté des résolutions similaires contre Ortega à la suite d’informations faisant état de persécutions religieuses dans le pays.
© 2023 AFP