Customize this title in frenchLes prix du pétrole augmentent dans un contexte de nervosité de l’OPEP, prévu pour la première semaine positive en 5

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© Reuter.

Investing.com– Les prix du pétrole ont légèrement augmenté dans les échanges asiatiques vendredi, les traders restant inquiets du retard de la réunion de l’OPEP+, bien que les attentes de nouvelles réductions de l’offre par le cartel aient mis les prix sur la bonne voie pour mettre fin à une séquence de quatre semaines de défaites.

Les volumes d’échanges ont été modérés par la fermeture des marchés américains pour les vacances de Thanksgiving.

Alors que les prix du brut étaient censés augmenter pour la semaine, les gains ont été dérisoires après un retard inattendu dans l’accord de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole et alliés (OPEP+).

La réunion a été reportée au 30 novembre au lieu du 26 novembre, les médias faisant état de désaccords entre les pays membres sur les réductions de production prévues.

Reuters a rapporté que les producteurs africains, notamment l’Angola et le Nigeria, voulaient augmenter leur production, au grand dam de l’Arabie saoudite et de la Russie, qui envisagent de réduire davantage leur production pour compenser la récente chute des prix du pétrole.

a augmenté de 0,3% à 81,67 $ le baril, tandis qu’il a augmenté de 0,4% à 76,69 $ le baril à 20h42 HE (01h42 GMT). Les deux contrats ont augmenté d’environ 0,8 % sur la semaine – leur première semaine positive après une longue déroute a amené les prix à un plus bas proche de quatre mois.

Néanmoins, les gains plus importants de la semaine ont été contrecarrés par les données montrant une augmentation nettement plus importante que prévu aux États-Unis. Ce chiffre, qui montre également que la production américaine reste proche des niveaux records, suggère que les marchés du brut n’étaient pas aussi tendus que prévu initialement.

Cette notion est susceptible d’inviter davantage de réductions de production de la part de l’OPEP+, bien que des désaccords sur la production puissent limiter l’ampleur des réductions d’offre prévues.

L’Arabie saoudite et la Russie ont été les leaders de l’OPEP+ en matière de réduction des approvisionnements cette année. Mais leurs réductions de production n’ont jusqu’à présent apporté qu’un soutien passager aux prix du pétrole, les craintes d’une détérioration des conditions économiques et d’un ralentissement de la demande ayant maintenu les prix à la baisse.

Une série de chiffres économiques faibles cette semaine ont également souligné un affaiblissement des conditions dans les principales économies mondiales. Les indices des directeurs d’achat d’Australie, de la zone euro et du Japon ont tous montré que l’activité commerciale était restée en contraction jusqu’en novembre, dans un contexte de pression exercée par les taux d’intérêt élevés et l’inflation.

L’accent est désormais mis sur la Chine, principal importateur de pétrole, qui doit être rendu public la semaine prochaine. Même si les importations pétrolières du pays sont restées stables cette année, une accumulation massive de ses stocks et des quotas de raffinage plus stricts ont suscité certaines inquiétudes quant à un ralentissement de la demande dans les mois à venir.

Les données économiques chinoises ont également été largement décevantes cette année, le rebond post-Covid ne s’étant pas concrétisé.

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