Make this article seo compatible, Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words
© Reuter. PHOTO DE DOSSIER : Des vérins à pompe fonctionnent au coucher du soleil dans un champ pétrolier à Midland, Texas, États-Unis, le 22 août 2018. Photo prise le 22 août 2018. REUTERS/Nick Oxford/File Photo
Par Stephanie Kelly et Andrew Hayley
(Reuters) – Les prix du pétrole ont augmenté mardi pour la quatrième séance consécutive, alors que la faiblesse de la production de schiste aux États-Unis a suscité de nouvelles inquiétudes concernant un déficit d’offre résultant des réductions prolongées de la production par l’Arabie Saoudite et la Russie.
Les contrats à terme sur le brut West Texas Intermediate américain ont augmenté de 99 cents, ou 1,1%, à 92,47 dollars, à 04h00 GMT, tandis que les contrats à terme de référence sur le pétrole mondial ont augmenté de 58 cents, ou 0,61%, à 95,01 dollars le baril.
Les prix ont augmenté pendant trois semaines consécutives et se situent désormais autour de leur plus haut niveau depuis 10 mois pour les deux indices de référence.
La production américaine de pétrole des principales régions productrices de schiste est en passe de tomber à 9,393 millions de barils par jour (bpj) en octobre, le niveau le plus bas depuis mai 2023, a annoncé lundi l’Energy Information Administration (EIA) des États-Unis. Il aura baissé trois mois de suite.
Ces estimations surviennent après que l’Arabie saoudite et la Russie ont prolongé ce mois-ci leurs réductions d’approvisionnement combinées de 1,3 million de barils par jour (bpj) jusqu’à la fin de l’année.
« La montée du pétrole en territoire de surachat laisse le marché vulnérable à une correction », ont écrit les analystes de la National Australia Bank (OTC 🙂 dans une note client, soulignant la volatilité après les discours de Aramco saoudienne (TADAWUL 🙂 Le PDG Amin Nasser et le ministre saoudien de l’énergie lundi.
Le PDG d’Aramco a abaissé les perspectives de demande à long terme de l’entreprise, prévoyant désormais que la demande mondiale atteindra 110 millions de b/j d’ici 2030, en baisse par rapport à la dernière estimation de 125 millions de b/j.
Le ministre saoudien de l’Energie, le prince Abdulaziz bin Salman, a défendu lundi les réductions de l’OPEP+ dans l’approvisionnement du marché pétrolier, affirmant que les marchés internationaux de l’énergie ont besoin d’une réglementation légère pour limiter la volatilité, tout en mettant en garde contre l’incertitude concernant la demande chinoise, la croissance européenne et l’action des banques centrales pour lutter contre l’inflation.