Customize this title in frenchLes puissances mondiales condamnent la violence alors que des affrontements éclatent au Soudan

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La communauté internationale a condamné l’escalade de la violence à Khartoum, la capitale soudanaise.

Des tirs nourris et des explosions ont été signalés après des jours de tension entre les forces armées et les Forces de soutien rapide (RSF) paramilitaires.

Des combats étaient en cours pour l’aéroport de Khartoum, les bases militaires, le palais présidentiel et la résidence du chef de l’armée.

Les pays n’ont pas tardé à dénoncer la violence et à appeler au calme.

États-Unis

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a déclaré que la situation au Soudan était « fragile », mais a insisté sur le fait qu’il y avait encore une possibilité d’achever la transition vers un gouvernement dirigé par des civils.

« Nous exhortons tous les acteurs à arrêter immédiatement la violence et à éviter de nouvelles escalades ou mobilisations de troupes et à poursuivre les pourparlers pour résoudre les problèmes en suspens », a-t-il déclaré.

Plus tôt, l’ambassadeur américain au Soudan, John Godfrey, a déclaré sur Twitter qu’il s’abritait sur place.

« L’escalade des tensions au sein de la composante militaire pour diriger les combats est extrêmement dangereuse », a écrit Godfrey. « J’appelle de toute urgence les hauts responsables militaires à arrêter les combats. »

Emirats Arabes Unis

Les Émirats arabes unis ont exhorté toutes les parties au Soudan à faire preuve de retenue, à désamorcer et à œuvrer pour mettre fin à la crise par le dialogue, selon l’agence de presse d’État WAM.

L’agence a déclaré que l’ambassade des Émirats arabes unis à Khartoum suivait « avec une grande inquiétude les développements au Soudan et a réaffirmé la position des Émirats arabes unis sur l’importance de la désescalade et s’efforce de trouver une solution pacifique à la crise entre les parties concernées ».

France

La France a exprimé sa « profonde inquiétude » face au déclenchement des combats au Soudan et a appelé les factions militaires belligérantes à Khartoum « à tout faire pour arrêter » la violence.

« Seul le retour à un processus politique inclusif menant à la nomination d’un gouvernement de transition et à des élections générales pourra régler durablement cette crise », a déclaré le ministère des Affaires étrangères.

Dans un communiqué, le ministère a indiqué que la France était « disponible, avec les autres partenaires du Soudan, pour faciliter la sortie de crise et promouvoir une solution politique ».

chef de l’ONU

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a condamné le déclenchement des combats et appelé au calme.

« Le secrétaire général appelle les dirigeants des Forces de soutien rapide et des forces armées soudanaises à cesser immédiatement les hostilités, à rétablir le calme et à engager un dialogue pour résoudre la crise actuelle », a déclaré Stéphane Dujarric, porte-parole du secrétaire général.

« Toute nouvelle escalade des combats aura un impact dévastateur sur les civils et aggravera encore la situation humanitaire déjà précaire dans le pays », a-t-il ajouté.

Un avion de chasse survole Khartoum lors d’affrontements entre les Forces de soutien rapide paramilitaires et l’armée à Khartoum [Reuters]

Royaume-Uni

Le ministre britannique des Affaires étrangères, James Cleverly, a appelé les chefs militaires à restreindre leurs troupes et à désamorcer.

« La violence en cours à travers le Soudan doit cesser immédiatement », a déclaré Cleverly sur Twitter. « Le Royaume-Uni appelle les dirigeants soudanais à faire tout leur possible pour contenir leurs troupes et désamorcer afin d’éviter de nouvelles effusions de sang.

« L’action militaire ne résoudra pas cette situation. »

Qatar

Le Qatar a exhorté toutes les parties à mettre fin aux combats et à résoudre les différends par le dialogue.

Dans un communiqué, le ministère qatari des Affaires étrangères a appelé toutes les parties « à cesser immédiatement les combats, à faire preuve d’un maximum de retenue, à recourir à la voix de la raison, à donner la priorité à l’intérêt public et à épargner aux civils les conséquences des combats ».

Le pays du Golfe a exprimé « son aspiration à ce que toutes les parties poursuivent le dialogue et des moyens pacifiques pour aplanir les divergences ».

Russie

L’ambassade de Russie au Soudan s’est dite préoccupée par une « escalade de la violence » dans le pays et a appelé à un cessez-le-feu et à des négociations, a rapporté l’agence de presse russe RIA.

L’ambassade a déclaré que l’atmosphère à Khartoum était tendue mais que les diplomates russes étaient en sécurité.

Egypte

L’Egypte a exprimé sa profonde préoccupation face aux affrontements en cours au Soudan et a appelé toutes les parties à faire preuve de retenue, a déclaré le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué.

Arabie Saoudite

Le gouvernement saoudien s’est dit « profondément préoccupé » par l’escalade et les violents combats au Soudan. Il a appelé les factions belligérantes à « choisir le dialogue plutôt que le conflit ».

Envoyé de l’ONU

L’envoyé spécial de l’ONU pour le Soudan, Volker Perthes, a « fermement condamné » l’éruption des combats dans le pays et a appelé à un arrêt « immédiat » de la violence.

Perthes « a tendu la main aux deux parties pour leur demander une cessation immédiate des combats afin d’assurer la sécurité du peuple soudanais », indique un communiqué.

Union européenne

Le chef de la politique étrangère de l’Union européenne, Joseph Borrell, a appelé toutes les forces impliquées à arrêter immédiatement la violence au Soudan, et a déclaré dans un tweet que tout le personnel de l’UE dans le pays était en sécurité et pris en compte.



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