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Berlin Le ministre de l’Economie, Robert Habeck, vient de limoger son secrétaire d’Etat à l’Energie, Patrick Graichen, et voilà qu’un autre de ses hauts responsables fait l’objet de critiques. Le secrétaire d’État à l’Économie Udo Philipp détient des parts dans quatre entreprises, dont des start-up. Parallèlement, il est responsable des domaines de la politique du numérique et de l’innovation au sein du ministère.
Il est évident qu’il existe un risque de conflit d’intérêts dans cette constellation. Il est d’autant plus étonnant de voir avec quelle maladresse le département économique de Habeck traite cette affaire. Ce n’est que lorsque les médias ont rapporté et qu’il y a eu une forte pression publique que Philipp a révélé ses avoirs.
La question cruciale pour Habeck et son secrétaire d’État est maintenant de savoir si c’était tout. De nouveaux rapports soulèvent au moins des doutes. En conséquence, Philip aurait recommandé son ministre à un conseiller dans le fonds duquel il avait investi de l’argent. Et ainsi l’impression surgit à nouveau que le ministère des Affaires économiques n’admet que ce qui menace de toute façon de devenir public.
>> Lire ici : Le secrétaire d’État Philipp sous pression – Habeck doit à nouveau faire face à des commissions
Le manque de sensibilité de Habeck à d’éventuels conflits d’intérêts est stupéfiant et ne cadre pas avec les exigences de transparence que les politiciens verts en particulier aiment exiger. On se souvient des critiques adressées à Jens Spahn alors qu’il était secrétaire d’État aux Finances, lorsqu’on a appris qu’il était impliqué dans une start-up.
Tous ces événements montrent clairement qu’il n’y a pas de lignes directrices claires au sein du gouvernement fédéral sur la façon dont les hauts fonctionnaires devraient traiter les avoirs des entreprises. Ceux qui veulent faire entrer une expertise externe dans le gouvernement ne peuvent pas exclure de tels cas.
Et une vente immédiate des participations n’est pas toujours possible. La condition la plus importante pour éviter les conflits d’intérêts est la transparence. Et c’est exactement ce que Philipp a raté au début. C’est pourquoi il est maintenant à juste titre sous le regard critique du public.
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