Customize this title in frenchL’Institut IWH s’attend également à ce que l’économie se contracte en 2023

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Économie

L’Institut Ifo de Munich et l’Institut de Kiel pour l’économie mondiale, entre autres, avaient précédemment revu à la baisse leurs prévisions pour 2023.

(Photo: dpa)

Berlin Avec l’IWH de Halle, un autre institut de premier plan a revu à la baisse ses prévisions économiques pour l’économie allemande. Le produit intérieur brut devrait chuter de 0,3% cette année et augmenter de 1,7% en 2024, comme l’a annoncé jeudi l’Institut de recherche économique de Halle (IWH).

Au printemps, une croissance de 0,4% pour l’année en cours et de 1,9% pour l’année à venir était encore attendue. L’Institut Ifo de Munich et l’Institut de Kiel pour l’économie mondiale, entre autres, avaient auparavant revu à la baisse leurs prévisions.

« Après la récession hivernale et malgré des taux d’intérêt plus élevés, l’économie allemande se développera à un rythme modéré au cours des prochains trimestres, car la consommation privée augmentera à nouveau avec la baisse de l’inflation et l’augmentation de la dynamique des salaires », écrivent les chercheurs de l’IWH autour du vice-président Oliver Holtemöller. Outre le début d’année faible, le fait qu’il ne devrait pas y avoir assez de croissance en 2023 est également dû au commerce extérieur.

« On ne peut guère s’attendre à une impulsion des exportations car l’économie mondiale reste morose », a-t-il déclaré. D’importants secteurs exportateurs allemands ont également des problèmes de compétitivité. « La formation brute de capital fixe, notamment dans la construction, est freinée par la hausse des coûts de financement », ont ajouté les experts, dans la perspective de la hausse des taux directeurs de la Banque centrale européenne (BCE).

L’IWH s’attend à ce que l’inflation diminue en 2024. Cette année, le taux d’inflation à une moyenne de 6,1 % ne devrait être que légèrement inférieur à la valeur de 6,9 ​​% atteinte l’année dernière.

En 2024, il devrait alors y avoir une baisse à 2,7 %. « Au cours des prochains trimestres, la consommation devrait à nouveau augmenter, notamment parce que la situation favorable du marché du travail offre aux salariés une sécurité d’emploi », s’attendent les chercheurs. Le nombre de personnes ayant un emploi au cours de l’année à venir devrait être de 46 millions, soit près d’un demi-million de plus qu’en 2022.

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