Customize this title in frenchLionnes du désert : au sein d’une unité blindée entièrement féminine d’Israël qui affronte les terroristes du Hamas – et dirigée par un capitaine britannique de 20 ans, qui dit que son rôle est « un rêve devenu réalité »

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsUne commandante de char britannique a parlé en exclusivité à MailOnline de sa fierté de faire partie d’une unité de chars entièrement féminine affrontant les terroristes du Hamas dans un rôle qui, selon elle, est « un rêve devenu réalité ».Tamara, 20 ans, est l’une des 40 femmes de l’unité blindée du 33e bataillon Caracal, en service depuis le 7 octobre après le lancement de l’invasion meurtrière du Hamas, tuant plus de 1 200 personnes.Originaire de Hendon, au nord de Londres, Tamara a déménagé en Israël après que son grand-père ait été tué dans une attaque terroriste à Jérusalem en 2008.S’adressant exclusivement à MailOnline depuis sa base située dans un lieu classé du sud d’Israël, près de la frontière égyptienne, elle a décrit comment elle était entrée en action le jour de l’invasion.Debout à côté de son char de combat Merkava, Tamara a déclaré : « J’ai été réveillée par le bruit des roquettes et des sirènes et je savais que c’était pour cela que nous avions été entraînés et que mon heure était venue. Tamara, 20 ans, tenant un fusil dans un lieu classé du sud d’Israël, près de la frontière égyptienne Tamara est l’une des 40 femmes de l’unité blindée du 33e bataillon Caracal. De gauche à droite en haut, Oshrit, 20 ans, Abigail, 21 ans, en bas, le commandant Tamara, 20 ans, originaire de Hendon, Londres, et Efrat, 19 ans. Tamara devant un gigantesque char dans le sud d’Israël, près de la frontière égyptienne« J’ai sauté dans ma voiture et en quelques minutes j’étais à la base et dans le char. Notre rôle est de défendre notre pays et c’est pour cela que je suis formé et que je suis prêt à le faire. »Nous devons le faire et nous devons prendre soin de nous-mêmes. Nos grands-parents et nos parents ont pris soin de nous quand nous étions plus jeunes et c’est ce que je fais maintenant ici pour mon pays. »Le bataillon Caracal est légendaire au sein des Forces de défense israéliennes et doit son nom au caracal, un petit chat dont les sexes semblent identiques et dont plus de 70 % sont des femmes.Sa devise en hébreu se traduit par « La combinaison gagnante » et elle a été mise en action à de nombreuses reprises depuis sa création en 2000. Tamara en civil. Tamara, qui a deux jeunes frères et une sœur, a déclaré : « Ma famille est fière de ce que je fais et nous avons décidé de déménager ici à cause de ce qui est arrivé à mon grand-père, et depuis, nous n’avons jamais regardé en arrière ». Tamara a déclaré : « Ma petite sœur veut aussi s’engager et elle veut aussi défendre son pays » Le bataillon Caracal. De gauche à droite : le commandant de char Tamara, 20 ans, originaire de Hendon, Londres, avec les membres de l’unité de chars féminines Oshrit, 20 ans et Abigail, 21 ans, Efrat, 19 ans. Tamara avec un fusil devant son char. Originaire de Hendon, au nord de Londres, Tamara a déménagé en Israël après que son grand-père ait été tué dans un attentat terroriste à Jérusalem en 2008. Tamara – qui avait les ongles parfaitement entretenus et vernis – a déclaré : « C’est dans mon sang de défendre notre peuple. Mon grand-père a été tué dans un attentat terroriste en 2008 à Jérusalem, donc pour moi c’est personnel. »Tamara – qui avait les ongles parfaitement entretenus et vernis – a ajouté : « C’est dans mon sang de défendre notre peuple. Mon grand-père a été tué dans un attentat terroriste en 2008 à Jérusalem, donc pour moi c’est personnel.« Mes camarades et moi sommes des femmes d’action – nous sommes plus que prêtes à nous battre. Les femmes peuvent opérer dans n’importe quel domaine et mon unité est l’une des meilleures du bataillon et je suis très fière d’elles.«Je ne vois aucune raison pour laquelle les femmes ne pourraient pas être en première ligne et je suis fière de me battre pour mon pays et je suis fière de mes racines britanniques.» Londres me manque, surtout le chocolat, mais ma vie est ici maintenant.Tamara, qui a deux jeunes frères et une sœur, a ajouté : « Ma famille est fière de ce que je fais et nous avons décidé de déménager ici à cause de ce qui est arrivé à mon grand-père, et depuis, nous n’avons jamais regardé en arrière. »Je suis fier d’être là où je suis en ce moment, surtout après ce qui s’est passé le 7 octobre. C’est notre priorité de protéger les gens et c’est ce que nous avons fait. » »Ma petite sœur veut aussi s’engager et elle veut aussi défendre son pays. » Tamara debout au sommet d’un tank. Elle a déclaré : « Mes camarades et moi sommes des femmes d’action – nous sommes plus que prêtes à nous battre. Les femmes peuvent opérer dans n’importe quel domaine et mon unité est l’une des meilleures du bataillon et je suis très fière d’elles. Char de combat Merkava. Tamara a déclaré : « Les femmes peuvent conduire des chars. Nous avons la capacité de tout faire mais nous travaillons tous en équipe avec les hommes. Nous nous tenons tous la main Tamara s’éloignant du char. Elle a déclaré : « Je ne vois aucune raison pour laquelle les femmes ne peuvent pas être en première ligne et je suis fière de me battre pour mon pays et je suis fière de mes racines britanniques. Londres me manque, surtout le chocolat, mais ma vie est ici maintenant.Tamara a ajouté : « Nous avons vu beaucoup de roquettes et de missiles ce jour-là. Nos chars ont été envoyés à Gaza et sont toujours prêts au combat. Nous avons été transférés dans des zones où ils devaient être présents. »Je ne peux pas entrer dans les détails de ce que nous avons fait car c’est confidentiel, mais je peux vous assurer que nous ferons de notre mieux pour nous assurer que rien de tel que le 7 octobre ne se reproduise ». »C’est notre travail de protéger notre pays, car si nous ne protégeons pas Israël, nous n’aurons aucun autre endroit où aller. »L’unité a été créditée d’avoir tué des dizaines de terroristes du Hamas au cours d’une bataille de 17 heures et d’avoir empêché les terroristes d’avancer plus loin en Israël.Tamara, qui est dans l’armée depuis deux ans, a ajouté : « Quand j’ai été enrôlée, j’ai toujours su que j’irais au combat.« Comme je l’ai dit, je suis une femme d’action. Je n’allais jamais faire quelque chose entre quatre murs. J’ai toujours été prêt à combattre et ma vie de commandant de char est un rêve devenu réalité.Tamara a expliqué qu’ils pouvaient passer jusqu’à deux semaines dans le char si nécessaire et a déclaré : « Nous avons suffisamment de munitions, de nourriture et d’eau et dormons dans le char. C’est exigu mais on continue tous.S’adressant à l’éléphant dans la pièce, Tamara a déclaré : « Si nous devons poursuivre la salle de bain, il y a un trou dans le sol et nous utilisons un entonnoir.« Les femmes peuvent conduire des chars. Nous avons la capacité de tout faire mais nous travaillons tous en équipe avec les hommes. Nous nous tenons tous la main.La commandante du bataillon, mère de trois enfants, le lieutenant-colonel Or Ben-Yehuda, 34 ans, a décrit comment ses soldats avaient affronté 100 terroristes, les éliminant tous sans pertes ni victimes. Tamara debout à côté d’un char. Elle a déclaré : « Je suis fière d’être là où je suis en ce moment, surtout après ce qui s’est passé le 7 octobre. C’est notre priorité de protéger les gens et c’est ce que nous avons fait ». Tamara tend la main vers le haut d’un réservoir. Son unité a été créditée d’avoir tué des dizaines de terroristes du Hamas au cours d’une bataille de 17 heures et d’avoir empêché les terroristes d’avancer plus loin en Israël. Tamara monte dans un tank. Elle a déclaré : « C’est notre travail de protéger notre pays, car si nous ne protégeons pas Israël, nous n’aurons aucun autre endroit où aller ». À Sufa et Holit, dans le sud d’Israël, près du poste frontière de Rafah, le bataillon Caracal et la bataille de 17 heures contre lui sont entrés dans l’histoire militaire israélienne.Le lieutenant-colonel Ben-Yehuda a déclaré à MailOnline…

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