Customize this title in frenchL’Iran lance un satellite d’imagerie « développé localement » depuis la Russie

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Le lancement de Pars 1 est le quatrième cette année, l’Occident accusant l’Iran de projeter d’utiliser la technologie à des fins militaires.

La Russie a lancé en orbite un satellite de recherche de fabrication iranienne dans un contexte de tensions croissantes avec l’Occident.

Le satellite de télédétection et d’imagerie Pars 1 a été lancé jeudi par une fusée russe Soyouz depuis le cosmodrome de Vostochny et scannera la topographie de l’Iran depuis une orbite de 310 milles (500 km), selon l’agence de presse officielle IRNA.

Le ministre iranien des Télécommunications, Issa Zarepour, a déclaré que Pars-I était « entièrement développé au niveau national ».

L’Iran a affirmé avoir lancé simultanément trois satellites en orbite en janvier à l’aide de sa propre fusée, près d’une semaine après le lancement d’un satellite de recherche par son Corps des Gardiens de la révolution islamique (CGRI).

Les gouvernements occidentaux, y compris les États-Unis, ont mis en garde à plusieurs reprises l’Iran contre de tels lancements, affirmant que la même technologie pouvait être utilisée pour des missiles balistiques, y compris ceux conçus pour transporter une ogive nucléaire.

L’Iran, sous le coup de sanctions des États-Unis depuis le retrait de ces derniers en 2018 d’un accord nucléaire historique, qui accordait à Téhéran un allégement en échange de restrictions sur ses activités nucléaires, a rétorqué qu’il ne cherchait pas à se doter de l’arme nucléaire et que ses lancements de satellites et de fusées étaient à des fins civiles ou de défense uniquement.

En août 2022, la Russie a lancé le satellite iranien de télédétection Khayyam en orbite depuis le Kazakhstan, reflétant une coopération scientifique plus approfondie entre les deux pays, mais suscitant également une controverse selon laquelle Moscou pourrait l’utiliser pour renforcer sa surveillance des cibles militaires dans sa guerre en Ukraine.

Moscou a cherché à renforcer ses alliances avec d’autres pays ostracisés par l’Occident, notamment l’Iran, accusé d’avoir fourni à Moscou des drones armés pour son offensive en Ukraine.

Ce mois-ci, les États-Unis ont annoncé qu’ils imposeraient bientôt de nouvelles sanctions à l’Iran en raison de son soutien à l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

Téhéran nie ces allégations.

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