Customize this title in frenchL’Iran libère trois prisonniers européens

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Deux citoyens austro-iraniens et un Danois ont été libérés de prison en Iran.

L’Iran a libéré un Danois et deux Autrichiens, ont confirmé vendredi leurs gouvernements, remerciant Oman et la Belgique pour leur aide à la libération du trio.

Le ministre autrichien des Affaires étrangères, Alexander Schallenberg, s’est dit « très soulagé » que Kamran Ghaderi et Massud Mossaheb aient été ramenés chez eux après « des années d’emprisonnement ardu en Iran ».

Le ministre danois des Affaires étrangères, Lars Løkke Rasmussen, s’est dit « heureux et soulagé qu’un citoyen danois soit sur le chemin du retour vers sa famille au Danemark après avoir été emprisonné en Iran ». Il n’a pas nommé la personne, affirmant que son identité était « une affaire personnelle » et qu’il ne pouvait pas entrer dans les détails.

Schallenberg a remercié les ministres des Affaires étrangères de Belgique et d’Oman pour leur « soutien précieux », sans préciser la forme qu’il a prise. Løkke Rasmussen a également remercié la Belgique et a déclaré qu’Oman « jouait un rôle important ».

La semaine dernière, un échange de prisonniers entre la Belgique et l’Iran a renvoyé à Téhéran un diplomate iranien reconnu coupable d’avoir tenté de bombarder des exilés en France, Assadollah Assadi. Le travailleur humanitaire belge Olivier Vandecasteele, visiblement décharné, est retourné à Bruxelles dans le cadre de l’échange.

Il n’y avait aucun mot immédiat sur ce que, le cas échéant, l’Iran a obtenu en échange des dernières versions.

Sultan d’Oman

Les libérations interviennent après que le sultan d’Oman Haitham bin Tariq s’est rendu en Iran lors de son premier voyage là-bas depuis qu’il est devenu le dirigeant de la nation arabe en 2020.

Ghaderi est un homme d’affaires irano-autrichien qui a été arrêté en 2016 puis condamné à 10 ans de prison pour avoir prétendument espionné pour les États-Unis, des accusations fermement rejetées par ses partisans. Sa famille avait reproché à l’Autriche d’être restée silencieuse sur son cas ces dernières années.

Mossaheb, également homme d’affaires irano-autrichien, a été arrêté en 2019 et condamné à 10 ans de prison après ce qu’Amnesty International a qualifié de « procès manifestement inéquitable pour de vagues atteintes à la sécurité nationale ». Amnesty avait déclaré que Mossaheb souffrait d’insuffisance cardiaque et de diabète, ce qui rendait son emprisonnement d’autant plus dangereux pour lui.

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