Customize this title in frenchL’Iran libère un travailleur humanitaire belge dans le cadre d’un échange controversé de prisonniers

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsOlivier Vandecasteele, le travailleur humanitaire belge détenu pendant 455 jours en Iran, a finalement été libéré, a annoncé vendredi 26 mai le Premier ministre belge Alexander De Croo. Lire l’article original en français ici. Le Belge de 42 ans a été libéré jeudi soir après une bataille diplomatique avec le régime iranien, qui poussait pour que son retour soit conditionné à la libération d’un Iranien emprisonné en Belgique. « Au moment où je parle, Olivier Vandecasteele est en route pour la Belgique. Si tout se passe comme prévu, il sera avec nous ce soir. Enfin libre », a annoncé De Croo dans un communiqué, qualifiant le retour de l’humanitaire de « soulagement ». Vandecasteele a été pris en charge par des soldats et diplomates belges au Sultanat d’Oman et a subi des examens médicaux dans la matinée pour évaluer son état de santé. Le Premier ministre a personnellement annoncé la libération à la famille Vandecasteele, dont il a salué le courage. « En Belgique, on n’abandonne personne. Encore moins une personne innocente », a déclaré De Croo. Sur Twitter, le ministre belge des Affaires étrangères a qualifié la détention de Vandecasteele d' »arbitraire » et a souligné les « 15 mois de diplomatie intense et discrète ». L’arrestation de Vandcasteele Vandecasteele, un travailleur humanitaire belge, a été arrêté et emprisonné par le régime iranien le 24 février 2022, jour où, à l’autre bout du monde, la Russie a lancé son invasion de l’Ukraine. En mars 2022, la Belgique a négocié un accord d’échange de prisonniers avec l’Iran qui prévoyait un moyen légal de transférer une personne condamnée en Iran vers la Belgique et aurait permis l’échange de Vandecasteele contre le diplomate iranien Assadolah Assadi. Les tribunaux belges ont condamné Assadi en 2021 pour son rôle dans la planification d’un attentat à la bombe qui visait le rassemblement en France du Conseil national de la résistance iranienne (CNRI), une faction de l’opposition iranienne à l’étranger. Cependant, le CNRI et dix opposants au régime iranien ont demandé l’annulation de l’accord, ce qui a conduit la Cour constitutionnelle belge à suspendre l’accord en décembre au motif qu’Assadi aurait pu être libéré une fois de retour en Iran. Les conditions de détention de Vandecasteele, qui étaient déjà mauvaises, se sont encore détériorées en janvier après qu’il a été condamné à 74 coups de fouet et 40 ans de prison pour espionnage et atteinte à la sécurité nationale. Il a ensuite été transféré à la prison d’Evin à Téhéran. Cette décision a été fermement condamnée par les autorités belges et par le Parlement européen dans une résolution sur la réponse de l’UE aux manifestations et aux exécutions en Iran, qui faisait référence à des « faits d’espionnage fabriqués » et à « l’utilisation cynique de la diplomatie des otages par la République islamique pour obtenir la libération du terroriste condamné Assadollah Assadi ». Début mars, la Cour constitutionnelle belge a rejeté le recours en annulation du traité de transfert de prisonniers avec Téhéran, une décision qui laissait espérer que l’humanitaire serait bientôt libéré. Ce traité permet désormais aux Belges détenus en Iran de purger leur peine dans leur pays d’origine et aux Iraniens détenus en Belgique de faire de même. Le 18 avril, la Belgique a déposé une demande officielle auprès des autorités iraniennes pour rapatrier Vandecasteele. L’Iran a fait la même demande pour Assadolah Assadi. Jeudi, l’Iran a finalement échangé Vandecasteele contre Assadi. Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir Abdollahian, a salué le retour d’Assadi en Iran sur Twitter, remerciant le Sultanat d’Oman pour ses efforts à cet égard. Mélange les réactions à la libération d’Assadi Dans un communiqué publié peu après l’annonce, le parti d’extrême droite flamand Vlaams Belang (Identité et Démocratie) s’est félicité de la libération mais s’est dit préoccupé par la libération de l’Iranien Assadolah Assadi. « J’ai demandé au Premier ministre Alexander De Croo (Open Vld) et à ses collègues ministres de la Justice Vincent Van Quickenborne (Open Vld) et des Affaires étrangères Hadja Lahbib (MR) des éclaircissements sur les circonstances exactes dans lesquelles cela s’est produit », a déclaré le député du Vlaams Belang. Ellen Samyn. « S’il s’avère que le [Belgian] gouvernement a été suffisamment myope pour permettre à un terroriste d’être libéré pour cette raison, cela a ouvert la porte à de nombreux nouveaux cauchemars », a-t-elle poursuivi. Selon le parti, aucune condition n’aurait dû être attachée à la libération de Vandecasteele par « l’État voyou » d’Iran. L’opposition iranienne a également été indignée par la libération, le CNRI la décrivant comme une « rançon honteuse pour le terrorisme et la prise d’otages ». Par ailleurs, la Cour avait assorti de conditions les échanges de détenus, précisant que le gouvernement belge doit, lorsqu’il prend une décision de transfèrement, « informer les victimes des agissements du condamné concerné afin qu’elles puissent effectivement faire contrôler la légalité de la décision ». par le tribunal de première instance ». Cependant, en ce qui concerne le CNRI, ce n’était pas le cas avec la libération d’Assadi, agence de presse belge Belgiquequi a contacté l’organisation, a confirmé. Darya Safai, membre de la Nieuw-Vlaamse Alliantie (NV-A, Conservateurs et réformistes européens), a également critiqué le gouvernement pour ne pas avoir informé les victimes d’Assadi de sa libération. L’Iran libère des prisonniers français Le 12 mai, deux ressortissants français détenus en Iran – Benjamin Brière et Bernard Phelan – ont également été libérés, alors que la Belgique négociait toujours la libération de son seul otage en Iran. Brière a été arrêté en mai 2020 pour espionnage, tandis que Phelan a été arrêté le 3 octobre 2022 pour avoir prétendument mis en danger la sécurité nationale. Selon un communiqué du ministère iranien des Affaires étrangères, les deux Français ont été libérés dans le cadre d’une « action humanitaire », qui faisait référence à « des demandes de la partie française à différents niveaux et après négociations ». Quatre Français et Françaises sont toujours détenus dans les prisons iraniennes. Mardi 23 mai, la ministre française des Affaires étrangères, Catherine Colonna, a annoncé France 2 qu’il n’y avait pas eu de « quid pro quo » pour ces versions. [Edited by Nathalie Weatherald] En savoir plus avec EURACTIV !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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