Customize this title in frenchL’Irlande participe au référendum sur la famille et l’égalité des sexes

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Vendredi 8 mars, l’Irlande votera sur des amendements constitutionnels concernant les définitions de la famille et le rôle des femmes au foyer, à la suite de campagnes axées sur des formulations ambiguës, des explications erronées et des inquiétudes concernant la polygamie.

Les changements proposés, appelés amendement sur la famille et amendement sur les soins, visent à modifier l’article 41 de la constitution de 1937 de l’État membre de l’UE.

L’amendement sur la famille exhorte les citoyens à élargir la définition de la famille au-delà du mariage, englobant les relations durables telles que les couples cohabitants et leurs enfants.

L’amendement sur les soins suggère de remplacer le langage obsolète concernant les femmes au foyer par une clause reconnaissant les soins prodigués les uns aux autres par les membres de la famille.

Orla O’Connor, présidente du Conseil national des femmes d’Irlande, considère le référendum, qui coïncide avec la Journée internationale de la femme, comme une étape vers une plus grande égalité en Irlande, soulignant l’importance de l’égalité pour les familles et les femmes, ainsi que la reconnaissance de la valeur de soins dans le contexte familial.

Catherine Cox de Family Carers Ireland juge les références de 1937 archaïques et dépassées, soutenant un double oui.

La politologue Yvonne Galligan considère l’amendement sur la famille comme une progression logique après les précédents référendums qui ont mis fin aux restrictions constitutionnelles sur le mariage homosexuel (2015) et l’avortement (2018), diminuant ainsi l’influence de l’Église catholique autrefois puissante.

Dans la balance

Malgré le soutien initial en faveur d’un vote oui-oui de la part des principaux partis politiques, les sondages ont montré des inquiétudes croissantes quant au flou des changements proposés.

Le Premier ministre Leo Varadkar reconnaît l’incertitude, notamment en ce qui concerne la définition d’une relation durable. Les critiques, comme David Quinn de l’Institut Iona, soutiennent que la confusion pourrait conduire à des votes non, et que la suppression de termes tels que femmes et mères de la constitution pourrait également influencer le résultat.

Les critiques des deux côtés expriment des réserves quant à l’amendement sur les soins. Maryam Madani, militante pour les droits des personnes handicapées, estime que cette approche échoue car elle n’aborde pas de manière adéquate les soins au-delà du contexte familial.

Pendant ce temps, des voix conservatrices et d’extrême droite s’inquiètent des implications potentielles des relations polygames et de l’immigration accrue due aux regroupements familiaux de migrants, affirmations démenties par le gouvernement.

Pas bien pensé

Yvonne Galligan suggère que l’amendement sur les soins est plus complexe et pourrait être plus susceptible de recevoir un vote « non ». Certains citoyens expriment des doutes sur le caractère bien réfléchi des questions et se demandent si la responsabilité des soins doit incomber aux familles ou à l’État.

L’incertitude laisse certains électeurs, comme Maria Garvey et Aidan Connolly, réfléchir à leurs choix, Garvey remettant en question l’accent mis sur la responsabilité familiale en matière de soins et Connolly penchant pour un vote « Oui-Oui » sans forte conviction.

(Avec la contribution des agences)

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