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L’UE et les États-Unis partageront les résultats de leurs études de marché respectives sur d’éventuelles distorsions du marché dans l’industrie des semi-conducteurs, ont déclaré des responsables des deux alliés lors d’une conférence de presse lors de la sixième réunion du Conseil du commerce et de la technologie (TTC) UE-États-Unis, vendredi (avril). 5).
Les deux juridictions mènent leurs propres enquêtes pour identifier les « distorsions du marché » et partageront leurs données, a déclaré la secrétaire américaine au Commerce, Gina Raimondo, lors de la conférence de presse.
Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive de la Commission européenne pour une Europe adaptée à l’ère numérique, a déclaré que l’enquête américaine est obligatoire, tandis que celle de l’UE est volontaire.
Les enquêtes devraient s’achever au début de l’été, a déclaré Vestager en marge de la conférence de presse.
La réunion du TTC, qui s’est tenue à Louvain, en Belgique, jeudi et vendredi, devrait être la dernière avant les élections au Parlement européen et aux élections présidentielles américaines. Les commissaires européens et les représentants du Département d’État américain ont été intensément interrogés par les journalistes sur les résultats attendus de la TTC au cours de la semaine dernière.
L’avenir de la TTC, lancée en 2021, est en jeu. Déjà, les observateurs et l’industrie ont mis en doute l’utilité du forum, arguant qu’il n’a produit que peu de progrès tangibles.
La probabilité d’une présidence Trump aux États-Unis à partir de l’automne pèse lourd sur le forum, car lors de sa dernière présidence, Trump a considérablement réduit la coopération internationale avec ses alliés.
Euractiv avait précédemment rapporté que les pays alliés s’ouvraient aux commentaires des parties prenantes sur le TTC pour réitérer le forum sur la base d’un projet de déclaration commune.
Dans ce contexte, les États-Unis et l’UE ont annoncé vendredi une série d’efforts de coordination, tels qu’un dialogue entre le Bureau européen de l’IA et l’Institut américain de sécurité de l’IA et une prolongation de trois ans des « arrangements administratifs dans le cadre desquels ils ont coopéré fructueusement ». pour identifier dès le début les perturbations de la chaîne d’approvisionnement et garantir la transparence des subventions », selon un communiqué de presse de la Commission européenne.
Collaboration IA
La collaboration entre les deux institutions d’IA a « une portée quelque peu plus large » [compared to the US-UK AI collaboration,” said Verstager, “because it is it is not just testing, it’s also everything that comes with it; benchmarks, methodologies, how to understand interpret regulatory approaches in both jurisdictions.”
She brought up red-teaming as an example of the two institutes’ broad collaboration. Red-teaming is traditionally a cybersecurity procedure that identifies security weaknesses in a system. In an AI context, it refers to a process by which developers try to elicit undesirable responses from an algorithm.
When asked about the longevity of the “administrative arrangements” on chips in light of a Trump presidency, a Commission official told Euractiv on Thursday that it would be up to the next US administration.
[Edited by Alice Taylor]