Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words Les États de l’UE ont accepté mercredi la dernière partie d’une refonte des règles sur la manière dont ils traitent les demandeurs d’asile et les migrants irréguliers, en s’efforçant de faire en sorte que cette loi soit adoptée d’ici les élections de l’année prochaine. Publié le: 10/04/2023 – 16:09Modifié: 10/04/2023 – 21:18 2 minutes Les ambassadeurs des 27 pays ont conclu un accord à Bruxelles après que l’Italie et l’Allemagne ont réglé un conflit de dernière minute au sujet des organisations caritatives secourant les migrants bloqués en Méditerranée.L’objectif de l’UE est de faire adopter les réformes longtemps bloquées avant les élections européennes de juin prochain qui ouvriront la voie à un nouveau Parlement et une nouvelle commission européens. »Aujourd’hui, nous avons réalisé un grand pas en avant sur une question cruciale pour l’avenir de l’UE », a déclaré le ministre espagnol de l’Intérieur, Fernando Grande-Marlaska, dont le pays assure la présidence tournante de l’UE.«Grâce à l’accord d’aujourd’hui, nous sommes désormais dans une meilleure position pour parvenir à un accord sur l’ensemble du pacte d’asile et de migration avec le Parlement européen d’ici la fin de ce semestre.»Le vice-président de la Commission européenne, Margaritis Schinas, a qualifié le texte de « dernier chaînon manquant du paquet » et a exhorté les États et le parlement de l’UE à poursuivre les longues négociations visant à en faire une loi. 03:02 Migrants de l’UE : les États membres parviennent à un accord sur la migration et l’asile ©France 24 « Le temps presse », a déclaré Schinas.« Nous avons besoin que le pacte soit conclu et dépoussiéré avant que les Européens n’aillent voter. »Le prochain cycle politique européen pourrait voir un changement politique au Parlement, compte tenu de la montée des partis de droite dans plusieurs pays de l’UE, et verrait la Hongrie et la Pologne assumer à tour de rôle la présidence tournante de l’UE.Une fois mis en œuvre, le nouveau Pacte sur la migration et l’asile chercherait à soulager la pression sur les pays dits de première ligne tels que l’Italie et la Grèce en relocalisant certaines arrivées vers d’autres États de l’UE.Les pays opposés à l’accueil de demandeurs d’asile – parmi lesquels la Pologne et la Hongrie – seraient tenus de payer ceux qui accueillent des migrants.Dans le même temps, l’Union européenne cherchera à accélérer le traitement des demandes d’asile afin que les migrants jugés inadmissibles soient renvoyés dans leur pays d’origine ou de transit, et les durées maximales de détention des migrants dans les centres frontaliers seront rallongées par rapport aux 12 semaines actuelles. .La Hongrie et la Pologne s’y opposentLa paralysie sur cette question a provoqué une frustration croissante au sein du bloc, confronté à une augmentation de la migration irrégulière.L’arrivée récente de milliers de demandeurs d’asile en provenance d’Afrique sur l’île italienne de Lampedusa a notamment rendu urgent la mise en place de la politique révisée.L’un des objectifs de la politique révisée est que les pays de l’UE agissent ensemble s’ils sont confrontés à un afflux soudain et massif de demandeurs d’asile, comme cela s’est produit en 2015-2016 lorsque des centaines de milliers de migrants sont arrivés, pour la plupart des Syriens fuyant la guerre en 2015. leur pays.Un accord entre les États membres de l’UE ne nécessitait qu’une majorité pondérée de pays, ce qui signifie que l’opposition de la Pologne et de la Hongrie n’a pas fait dérailler l’accord.Varsovie et Budapest ont critiqué ouvertement les pressions visant à les amener à accepter ou à payer les migrants.Le parti de droite au pouvoir en Pologne a fait de l’immigration un élément majeur des élections âprement disputées de ce mois-ci et a organisé un référendum sur la question le même jour.Mercredi, le ministre hongrois des Affaires étrangères, Peter Szijjarto, a lancé une nouvelle offensive contre les réformes.« Nous appelons Bruxelles à mettre immédiatement fin à cette politique migratoire », a-t-il déclaré. La rancune à l’égard de l’immigration devrait occuper une place importante lors des deux jours de sommets réunissant les dirigeants de l’UE dans la ville espagnole de Grenade, à partir de jeudi.(AFP)
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