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L’Union européenne a lancé une enquête pour déterminer si les subventions ont permis aux entreprises chinoises de soumettre des offres injustes pour la construction d’un parc de panneaux solaires roumain, dans le cadre de la deuxième application d’une nouvelle loi de protection commerciale en une semaine.
En 2023, l’UE a adopté le règlement sur les subventions étrangères, qui permet à Bruxelles de sonder les entreprises participant à des appels d’offres publics dans l’Union d’un montant supérieur à 250 millions d’euros.
Dans le cas d’un immense parc solaire de 110 MW en Roumanie, le La Commission européenne a lancé une enquête si les deux entreprises chinoises soumissionnaires pour le contrat bénéficient de subventions étrangères.
« Les deux nouvelles enquêtes approfondies sur les subventions étrangères dans le secteur des panneaux solaires visent à préserver la sécurité économique et la compétitivité de l’Europe », a déclaré le commissaire au marché intérieur, Thierry Breton. dans un communiqué de presse.
« Les panneaux solaires sont devenus d’une importance stratégique pour l’Europe », a ajouté le Français.
Le premier consortium d’appel d’offres concerné est celui d’une entreprise roumaine avec la filiale allemande du géant chinois de l’énergie solaire LONGi. L’autre soumissionnaire concerné, Shanghai Electric, est détenu et contrôlé à 100 % par le gouvernement chinois.
Bruxelles dispose désormais de 110 jours, à compter du 4 mars, date du dépôt des offres, pour vérifier si les « prétendues subventions étrangères » ont pu permettre aux entreprises chinoises de « soumettre une offre indûment avantageuse » ; a déclaré la Commission.
À l’issue de l’enquête, l’exécutif européen peut accepter tout engagement pris par les entreprises pour remédier à la situation, bloquer l’offre ou rester en dehors de celle-ci.
Il n’est toutefois pas certain que l’on en arrive là : lorsque la loi sur les subventions étrangères a été appliquée pour la première fois, l’entreprise ferroviaire chinoise mise en cause s’est retirée sommairement de l’appel d’offres bulgare.
La Chambre de commerce chinoise auprès de l’UE s’est déclarée « gravement préoccupée par les enquêtes approfondies consécutives contre des entreprises chinoises », ajoutant qu’à ce jour, les trois enquêtes visaient toutes des entreprises chinoises.
« Cette situation fausse les règles du jeu équitables pour les entreprises chinoises dans l’UE », ajoute-t-il.
Si l’enquête révèle que les entreprises chinoises ont bénéficié de subventions, elles peuvent suggérer des mesures « correctives » pour contrer tout avantage concurrentiel injuste. La Commission peut accepter ou rejeter ces propositions, ou elle peut bloquer l’attribution du marché.
Les importations de panneaux solaires en provenance de l’étranger sont souvent considérées comme cruciales par Bruxelles pour la réalisation des objectifs climatiques de l’UE. Début mars, la commissaire à l’Energie Kadri Simson a minimisé les perspectives de droits de douane stricts sur les importations chinoises tout en soulignant la nécessité de « soutenir notre industrie ».
À ce stade, il reste à voir si les enquêtes sur les subventions spécifiques à un projet sont la nouvelle façon de procéder.
[Edited by Donagh Cagney/Zoran Radosavljevic]