Customize this title in frenchL’UE va ouvrir des négociations sur les règles d’urgence aux frontières dans l’espace Schengen

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsLes législateurs européens entameront dans les prochains jours des négociations sur la révision du code Schengen, dans le but d’harmoniser les règles en matière de contrôles aux frontières ou de les supprimer, en cas de crise sanitaire ou d’autres types de menaces. La législation, initialement proposée par le Commission européenne en décembre 2021, était adopté » par les députés de la commission des libertés civiles du Parlement européen mercredi (20 septembre) et propose de clarifier les règles sur le moment où les frontières peuvent être renforcées ou non, avec des solutions ciblées pour des types spécifiques de cas de menace. Selon le texte approuvé, les situations susceptibles de déclencher une augmentation des contrôles aux frontières sont « des urgences sanitaires publiques transfrontalières à grande échelle, permettant des restrictions temporaires à l’entrée dans l’espace Schengen ». Toutefois, les citoyens de l’UE, les résidents de longue durée et les demandeurs d’asile seraient exemptés de cette mesure. Les cas « irréguliers » La législation promeut également la coopération policière transfrontalière et prévoit la possibilité de renvoyer des ressortissants de pays tiers « irréguliers » vers d’autres pays de l’UE s’il existe suffisamment de preuves que l’individu a transité par un autre pays de l’UE avant les patrouilles conjointes. « Lorsque des ressortissants de pays tiers en situation irrégulière sont appréhendés lors de patrouilles conjointes et qu’il existe des preuves qu’ils sont arrivés directement d’un autre pays de l’UE, ces personnes peuvent être transférées vers ce pays s’il participe à des patrouilles conjointes », indique un communiqué de presse du Parlement. Les législateurs européens ont précisé l’exemption de ces règles dans plusieurs catégories, comme les mineurs non accompagnés. Cette partie de la proposition est conforme à ce que les ministres de l’UE et la Commission soutiennent dans le pacte sur la migration et l’asile, qui est également en discussion. Ce serait aussi maintenir le soi-disant « principe de Dublin », en vertu duquel un ressortissant d’un pays tiers qui demande une protection internationale doit demander l’asile dès son arrivée. L’UE va entamer des négociations sur les lois de réforme de l’immigration Les membres de la commission des libertés civiles du Parlement européen ont adopté leur position sur les principaux dossiers migratoires mardi 28 mars, inaugurant ainsi le début des négociations interinstitutionnelles entre le Parlement européen et les ministres de l’UE. Dans la révision du code Schengen, il existe une distinction entre les « migrants irréguliers » et les « demandeurs d’asile », même si, selon le droit international, tout ressortissant d’un pays tiers peut demander une protection internationale sur le sol de l’UE. Les « cas » de huit mois et de deux ans Selon le projet de proposition, s’il existe des raisons justifiées pour une menace terroriste « identifiée et immédiate », le délai maximum pour resserrer les frontières est de huit mois. Toutefois, si la menace persiste, les ministres du gouvernement européen peuvent autoriser une prolongation. Une autre mesure proposée consiste à renforcer les contrôles dans certains pays de l’UE « lorsque la Commission reçoit des notifications concernant une menace particulièrement grave affectant simultanément une majorité de pays, pour une période pouvant aller jusqu’à deux ans », explique le communiqué. « La protection de l’espace de libre circulation Schengen et de ce qu’il représente pour 450 millions d’Européens est au cœur de ce rapport. Les négociations ont été difficiles, mais je suis ravie que nous ayons réussi à sauvegarder l’essence de l’une des plus grandes réussites de l’Union européenne », a déclaré Sylvie Guillaume, eurodéputée socialiste française qui dirige les négociations du Parlement sur ce dossier. Les députés ont également précisé que la loi ne couvre pas « l’instrumentalisation de la migration », expression utilisée pour désigner les pays tiers qui « facilitent » ou « encouragent » les migrants à se rendre dans l’UE, une tactique utilisée par la Russie et la Biélorussie. Régulation de l’instrumentalisation vs droit international La Commission a proposé le régulation de l’instrumentalisation en décembre 2021, une loi qui permettrait aux États membres, dans certaines circonstances, d’appliquer des dérogations au droit international en matière de protection lorsqu’un ressortissant d’un pays tiers entre sur le sol de l’UE. Selon le droit international, tout ressortissant d’un pays tiers peut demander l’asile à son arrivée dans un État de l’UE. En conséquence, la législation a été critiquée par ONG comme un moyen de contourner les garanties des droits de l’homme. Cependant, la loi n’en est qu’à ses débuts et il est peu probable qu’elle soit approuvée avant les prochaines élections européennes de juin 2024. Entre-temps, certains États membres géographiquement proches de la Russie et de la Biélorussie ont approuvé des règles similaires au règlement sur l’instrumentalisation. En avril, La Lituanie a approuvé une loi qui permet aux gardes-frontières de décider qui peut demander l’asile lors du franchissement de la frontière. La Lituanie légalise le refoulement des migrants Le parlement lituanien Seimas a adopté mardi (25 avril) une loi légalisant le refoulement des migrants irréguliers à la frontière dans le cadre d’un régime de situation extrême au niveau de l’État ou d’un état d’urgence. Prochaines étapes La proposition visant à modifier les règles de Schengen pourrait toutefois être approuvée d’ici la fin du mandat législatif. Le dossier pourrait désormais entrer en négociations dans les prochaines 48 heures. Si tel est le cas, le texte sera ensuite « approuvé » lors de la prochaine session plénière du Parlement début octobre. En cas d’objection des députés dans les deux prochains jours, les négociations débuteront après le vote d’octobre. [Edited by Nathalie Weatherald/Benjamin Fox] En savoir plus avec EURACTIV !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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