Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words Publié le: 12/04/2023 – 21:00 Le président français Emmanuel Macron a maintenu mercredi ses propos controversés sur Taïwan, affirmant qu’être un allié des États-Unis ne signifiait pas être un « vassal ». Macron – qui termine une visite d’Etat aux Pays-Bas au cours de laquelle il a également fait face à des protestations contre la réforme des retraites – a déclaré que la France soutenait toujours le « statu quo » à Taiwan.Mais le président français a semblé s’en tenir à ses propos lors d’une interview ce week-end, dans laquelle il a déclaré que l’Europe ne devrait pas être un « suiveur » de Washington ou de Pékin ou se laisser entraîner dans une quelconque escalade. « Être un allié ne signifie pas être un vassal (…) ne signifie pas que nous n’avons pas le droit de penser par nous-mêmes », a déclaré Macron lors d’une conférence de presse à Amsterdam avec le Premier ministre néerlandais Mark Rutte.>> En savoir plus : Les retombées de la visite de Macron en Chine se répercutent sur l’Atlantique et l’Indo-PacifiqueMacron, qui s’est rendu en Chine la semaine dernière, a déclaré que la politique française et européenne à Taiwan « n’a pas changé » malgré le tollé suscité par ses propos dans une interview à Politico et Les Echos dans laquelle il a soutenu l’autonomie stratégique de l’Europe. »La France est pour le statu quo à Taïwan », a-t-il dit, ajoutant que Paris « soutient la politique d’une seule Chine et la recherche d’une résolution pacifique de la situation ». 03:22 « Honneur des travailleurs »L’interview du week-end de Macron a été saluée comme « brillante » en Chine – qui rejette le soutien américain à ce qu’elle considère comme une province séparatiste – mais a soulevé des sourcils parmi les alliés occidentaux.L’ancien président américain Donald Trump a déclaré quant à lui que « Macron, qui est un de mes amis, en a fini avec la Chine, en lui embrassant le cul ».Macron a cependant refusé de monter à l’hameçon, affirmant qu’il n’avait « rien à dire sur les propos de l’ancien président Trump car il participe à cette escalade ».Le faste de la première visite d’État aux Pays-Bas d’un président français en 23 ans n’a pas empêché Macron de faire face à des pressions sur une série de problèmes nationaux et étrangers.La police néerlandaise a arrêté deux manifestants qui ont couru vers lui devant l’université d’Amsterdam dans une manifestation apparente contre la France augmentant l’âge de la retraite de 62 à 64 ans. « Pour l’honneur des travailleurs et un monde meilleur – même si Macron ne l’aime pas, nous sommes là », a scandé un manifestant, utilisant les mots d’une chanson de protestation française, alors qu’il était coincé par plusieurs responsables de la sécurité dans Amsterdam.La police a arrêté un homme et une femme manifestant « pour avoir couru vers le président, pour avoir troublé l’ordre public et menacé », a déclaré à l’AFP le porte-parole de la police d’Amsterdam, Lex van Liebergen.Une quarantaine de personnes ont manifesté lorsque Macron a quitté la faculté des sciences de l’université, lors d’un événement visant à promouvoir la signature d’un « pacte pour l’innovation » entre la France et les Pays-Bas. 33:44 ©France 24 « Accepter la controverse »Macron a déclaré plus tard que les réformes provoquaient inévitablement des protestations, citant les récents rassemblements d’agriculteurs néerlandais contre les plans environnementaux. »Il faut parfois accepter la polémique, et il faut essayer de tracer une voie pour l’avenir », a-t-il déclaré devant un parterre de Français vivant aux Pays-Bas.Les arrestations sont intervenues un jour après que des manifestants ont chahuté Macron lors d’un discours sur la souveraineté européenne à La Haye mardi.Les manifestants avaient crié « Où est la démocratie française ? et déployé une banderole disant « Président de la violence et de l’hypocrisie ».La visite d’État de Macron visait à promouvoir la proximité renouvelée des deux pays depuis le Brexit, lorsque les Pays-Bas ont perdu un allié clé de l’UE avec le départ de la Grande-Bretagne.Il comprenait également un voyage à une exposition d’œuvres du peintre Johannes Vermeer au Rijksmuseum d’Amsterdam et des entretiens avec Rutte sur un bateau fluvial.Plus tôt, l’épouse de Macron, Brigitte, et la reine néerlandaise Maxima ont visité la maison d’Anne Frank à Amsterdam, où le tragique journaliste juif adolescent s’est caché des nazis pendant la Seconde Guerre mondiale.(AFP)
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