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PARIS — Emmanuel Macron pourrait bien aborder les questions sociales ; en économie, il revient à son ADN libéral.
Quelques jours après un remaniement gouvernemental, le président français a annoncé une série de réformes visant à libéraliser davantage le marché du travail du pays et à réduire la bureaucratie pour les entreprises, ce qui ressemblait à une résurrection de ses mesures phares vieilles de plusieurs années.
« Nous allons ouvrir un deuxième acte d’accélération, d’attractivité et d’innovation en France », a déclaré Macron mercredi au Forum économique mondial de Davos, en présentant son programme de réformes pour cette année.
Depuis la pandémie de coronavirus, la politique économique de la France s’est concentrée sur des programmes massifs de subventions. Le pays lourdement endetté se tourne désormais vers des réformes qui ne devraient pas alourdir davantage les caisses de l’État, mais qui visent à relancer l’économie française et à rendre le pays plus attractif pour les investisseurs étrangers.
Les réformes ont été annoncées pour la première fois lors d’une conférence de presse à l’Elysée mardi soir, où Macron a promis de réduire davantage les formalités administratives pour les entreprises avec une nouvelle loi pour « lutter contre les complexités qui protègent les loyers et les situations établies ».
Il a qualifié la réforme d’« acte II » de la loi dite Macron, un premier paquet de libéralisation adopté en 2015 et proposé par Macron lorsqu’il était ministre français de l’Économie.
L’objectif est de « retirer certaines règles, de réduire les délais » [of administrative procedures,] faciliter les embauches et relever tous les seuils » qui déclenchent des obligations administratives pour les entreprises, a déclaré Macron mardi avant de faire écho à ses propos à Davos.
Le président français a également promis une réforme du marché du travail qui restreindrait l’accès au chômage et aux allocations sociales à ceux qui refusent une offre d’emploi, mais aussi mieux accompagner les demandeurs d’emploi en matière de formation et de logement.
« Nous allons ouvrir une deuxième phase de réforme de notre marché du travail en durcissant les règles de l’assurance chômage et en simplifiant beaucoup l’embauche et l’organisation », a déclaré Macron à Davos.
Une fois de plus, il l’a qualifié de « deuxième acte » de la réforme controversée du marché du travail qu’il a mise en œuvre en 2017, l’une de ses premières mesures en tant que président qui a suscité de vives critiques, notamment de la part de l’opposition de gauche.
Et Macron souhaite que la France devienne encore plus attractive pour les investisseurs. Le gouvernement devrait présenter au printemps de nouvelles mesures visant à attirer davantage d’entreprises financières à Paris, qui pourraient inclure de nouvelles modifications du droit du travail du pays ainsi que des avantages fiscaux.