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De la suggestion de créer une coalition internationale pour combattre le Hamas à l’avertissement adressé à l’Iran, voici tout ce qu’Emmanuel Macron a dit lors de sa visite en Israël.
Emmanuel Macron s’est rendu mardi à Tel-Aviv, un autre voyage d’un dirigeant international exprimant son soutien à Israël et essayer d’apaiser les tensions croissantes dans la région.
Le président français a déclaré aux responsables israéliens qu’il était venu « pour exprimer notre soutien, notre solidarité et partager votre douleur », leur assurant que le pays n’était « pas laissé seul dans la guerre contre le terrorisme » après l’attaque surprise du Hamas le 7 octobre. Une trentaine de ressortissants français ou franco-israéliens ont été tués ce jour-là.
Au cours de sa visite, Macron a rencontré son homologue israélien, le Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui a déclaré que son pays ferait tout ce qui est en son pouvoir pour mettre fin rapidement au combat avec le Hamas, « mais que cela pourrait être une longue guerre ».
Le président français a tenté de décourager Israël de lancer une opération terrestre annoncée dans la bande de Gaza, un conseiller de Macron affirmant que la France estime « qu’une telle opération serait très difficile à mener dans le respect » du « droit international ».
Tout en soutenant le droit d’Israël à se défendre, Macron a appelé à une trêve humanitaire qui pourrait conduire à un cessez-le-feu, tout en précisant que la libération des otages détenus par le Hamas est le premier objectif à l’heure actuelle.
Il a appelé l’Iran à ne pas transformer la guerre en conflit régional, demandant au pays de « ne pas prendre le risque d’ouvrir de nouveaux fronts ».
Macron a proposé la création d’une « coalition » internationale pour lutter contre le Hamas ou, alternativement, d’élargir l’objectif de la coalition créée en 2014 pour combattre l’État islamique (EI) en Syrie et en Irak au Hamas.
« Nous sommes prêts à construire une coalition contre le Hamas ou à inclure le Hamas dans le travail que nous effectuons déjà dans la coalition contre l’Etat islamique, en fonction de ce qu’Israël nous demande », a déclaré l’un des conseillers de Macron.
« Nous prenons cette menace très au sérieux et nous sommes prêts à faire tout ce qui est nécessaire pour nous débarrasser de cette menace. »
La visite de Macron devait se poursuivre à Ramallah, en Cisjordanie occupée, où il devrait rencontrer le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas. L’Autorité palestinienne n’exerce aucune autorité dans la bande de Gaza depuis son éviction par le Hamas en 2007.
La présidence française a déclaré que Macron se rendrait ensuite à Amman, où il rencontrerait « probablement » le roi Abdallah II de Jordanie et « peut-être d’autres dirigeants de la région ».
Macron rentrera en France mercredi.