Customize this title in frenchMaduro du Venezuela dénonce une « provocation » alors que le Royaume-Uni envoie un navire de guerre en Guyane

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LONDRES — Le Venezuela s’est déchaîné contre « un acte de provocation hostile » après que le Royaume-Uni a déployé un navire de patrouille de la marine en Guyane au milieu d’un conflit frontalier latent.

Le Royaume-Uni a annoncé cette semaine que son navire HMS Trent avait été envoyé en Guyane dans ce qu’il a décrit comme une démonstration de soutien à l’ex-colonie britannique voisine du Venezuela.

Le régime du président Nicolas Maduro a organisé un référendum au début du mois pour solliciter le soutien du public aux propositions visant à revendiquer la souveraineté sur la vaste région d’Essequibo, riche en pétrole et en minéraux, contrôlée par la Guyane mais longtemps contestée par le Venezuela.

Maduro a déclaré jeudi soir dans un discours télévisé que les forces armées de son pays allaient désormais lancer leurs propres exercices militaires, les qualifiant d' »action commune de nature défensive en réponse à la provocation et à la menace du Royaume-Uni contre la paix et la souveraineté de notre pays ». .»

Le ministère britannique de la Défense n’a pas explicitement mentionné le Venezuela lors de l’annonce du déploiement plus tôt cette semaine.

Il indique seulement que Sa Majesté Trent se rendra « en Guyane, alliée régionale et partenaire du Commonwealth, plus tard ce mois-ci, dans le cadre d’une série d’engagements dans la région au cours de son déploiement dans le cadre de la Tâche de patrouille de l’Atlantique ».

Mais lors d’une visite en Guyane la semaine dernière, le ministre britannique des Affaires étrangères, David Rutley, a déclaré : « La question frontalière est réglée depuis plus de 120 ans. Les frontières souveraines doivent être respectées où qu’elles se trouvent dans le monde.

Les tensions régionales se sont intensifiées ces dernières semaines. À la suite du référendum de Caracas, la Guyane et le Venezuela ont signé un accord promettant de ne pas recourir à la force et de poursuivre le dialogue dans leur différend sur Essequibo.

La Guyane souhaite que le différend soit résolu par la Cour internationale de Justice de La Haye, mais le Venezuela ne reconnaît pas sa compétence sur ce conflit.



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