Customize this title in frenchMaîtrise en transparence pour le nouveau patron du Syntec Conseil

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 words Appuyez sur play pour écouter cet article Exprimé par l’intelligence artificielle. Notre newsletter quotidienne sur les enjeux de lobbying et de transparence en France. Par OCÉANE HERRERO Avec ALEXANDRE LÉCHENET et PAUL DE VILLEPIN Infos, tuyaux et mini-drames à partager à @Hérocéane, @DevillepinPaul, @alphoenix ous [email protected] | Voir dans votre navigateur — Le nouveau patron du Syntec Conseil baisse (un peu) sa cape d’invisibilité. — Le gouvernement abat ses cartes énergétiques. — L’Adan s’imagine un avenir européen. Bonjour à tous nos lecteurs qui découvrent Paris Influence à l’occasion d’une semaine un peu particulière, puisqu’elle se terminera par trois éditions spéciales consacrées aux Rencontres économiques d’Aix-en-Provence (dont POLITICO est partenaire média). Paul de Villepin, Elisa Braun et moi-même y seront à pied d’œuvre pour vous en raconter les temps forts et coulisses. Si vous en êtes, n’hésitez pas à nous écrire pour prendre un café (ou une limonade bien fraîche) sur les pelouses du parc Jourdan. Top 40. Nous vous dévoilerons également cette semaine notre premier classement Power 40 des personnalités phares de l’influence française, un concept que POLITICO décline également à Londres et Bruxelles. Hâte de vous dévoiler cette liste qui réserve quelques belles surprises ! CONSEILLER MAÎTRE. David Mahé est devenu vendredi le président du Syntec Conseil, le syndicat des cabinets de conseil, comme nous l’écrivons il y a quelques semaines. Le fondateur de la société de conseil en ressources humaines Human & Work était le seul candidat à la succession de Matthieu Courtecuisse, le PDG de Sia Partners. Il se donne pour mission de redonner du souffle à l’organisation après quelques années pour le moins agité — doit-on vous rappeler l’affaire McKinsey ? Vitres teintées. Au cours d’un entretien avec Paul de Villepin et votre servante, David Mahé a ainsi fait valoir la nécessité de faire la transparence sur les activités de conseil. « Avant, nous considérions que, pour vivre heureux, il fallait vivre cachés. Maintenant, il faut montrer à quoi sert le conseil », fait-il valoir, mentionnant davantage de com’ notamment dans la presse. Attention : David Mahé parle bien d’une transparence maîtrisée. Il s’inquiète notamment de l’exigence de publication, de la commission d’enquête sénatoriale consacrée à la place des taxis dans la décision publique, de plusieurs « livrables » de cabinets de conseil aux ministères. « On conteste leur diffusion sur la place publique », s’oppose-t-il. Autre combat : les déclarations d’intérêts que souhaitent instaurer la proposition de loi visant à encadrer le secteur pour les consultants s’apprêtant à exercer une mission auprès des pouvoirs publics. La nouvelle tête du Syntec y voit une menace pour l’attractivité de ces missions, et veut réorienter le débat : « La question qui est posée, c’est ‘comment la puissance publique achète du conseil’ et cela peut être positif de réguler, mais il peut suffire pour cela d’un règlement, d’une directive », suggère-t-il, et non pas donc d’une évolution législative. Un nouveau coup de griffe contre un texte dont le Syntec Conseil avait déjà mis en doute la constitutionnalité. PLEIN LES BATTERIES. On touche au but. Après une cinquantaine de réunions depuis deux ans, organisée par la direction générale de l’énergie et du climat, et une poignée de groupes de travail, lancées par Agnès Pannier-Runacher avec des parlementaires et des élus locaux, le gouvernement devrait enfin dévoiler cette semaine son programme énergétique. Première marche ratée pour l’exécutif : l’échéance du 1er juillet 2023. Elle était inscrite dans la loi depuis 2019 : « Avant le 1er juillet 2023, puis tous les cinq ans, une loi détermine les objectifs et fixe les priorités d’action de la politique énergétique nationale pour répondre à l’urgence écologique et climatique. La loi de programmation en question, un temps annoncée au printemps, devrait éventuellement être examinée cet automne au Parlement. Suite de la programmation. Le ministre de la Transition énergétique doit recevoir les premières conclusions de ses groupes de travail demain. Les grandes lignes seront validées le 5 juillet, lors d’un conseil de planification écologique. Niveau financement : Pascal Canfin et Bruno Le Maire sont censés présenter aujourd’hui la ligne du parti pour trouver les 60 milliards d’euros (une paille) nécessaires à la transition climatique. Le ministre de l’Economie et des Finances sera ensuite mardi devant les députés pour parler de financement du programme de construction de nouveaux réacteurs nucléaires. Supplément atomique. Un conseil de politique nucléaire aura lieu le 11 juillet. Le même jour, le député Jean-Luc Fugit (Renaissance) et le sénateur Stéphane Piednoir (LR) remettront leur rapport sur la réforme de l’Autorité de sûreté nucléaire et de l’Institut de radioprotection et sûreté nucléaire à l’Office parlementaire d ‘évaluation des choix scientifiques et technologiques. J’VEUX IRRADIER. Voilà un rapport qui a permis d’étoffer la stratégie énergétique de l’exécutif et de guider la vision française de la réforme du marché européen de l’électricité. Commandé l’an dernier à Philippe Darmayan, ancien dirigeant d’ArcelorMittal, ce document traite les besoins en matière d’électricité des industriels les plus gourmands. Pour résumer : ils veulent du nucléaire à pas cher. Mon collègue Alexandre Léchenet a récupéré ce PDF longtemps tenu secret, également publié par Enerpresse et Contexte, que vous pouvez lire ici. Sous le sceau du secret. Un conseiller ministériel nous justifiait sa confidentialité au motif que le rapport détaille « la structure des coûts de l’industrie lourde ». Il a ajouté : « Le rapport est dans mon coffre, comme dans les coffres de toutes les bonnes personnes dans l’État. » En mai, devant les députés, Philippe Darmayan a expliqué ne pas vouloir que le voir soit largement diffusé afin de ne pas électriser davantage les relations entre le gouvernement et EDF. L’ADAN NIVEAU EUROPE. Sauf immense surprise, Faustine Fleuret, présidente de l’Adan, devrait être renouvelée à son poste pour un nouveau mandat aujourd’hui — elle est seule candidate. « C’est important d’être rassurant sur l’encadrement du secteur », at-elle indiqué à votre servante, ajoutant que la priorité de ce nouveau mandat serait de permettre au lobby des cryptos de se développer au niveau européen, notamment en recrutant à Bruxelles. « La France est influente [sur le sujet crypto] car elle a une approche positive”, estime Faustine Fleuret, citant le projet de loi numérique (ou SREN) qui prévoit un régime juridique spécial pour les services de jeux numériques fondés sur les NFT. Lequel, espère-t-elle, saura interpeller les suscités européens. SUJET MODE. Nous vous en parlions la semaine dernière : Bruno Le Maire lance les hostilités contre le géant chinois de la fast fashion Shein (prononcez « chi-ine »), à travers la commande d’un rapport auprès de la Direction générale de la concurrence, de la consommation et la répression des fraudes. Le ministre de l’Economie a également tendu la main à l’eurodéputé de gauche Raphaël Glucksmann, très actif sur le sujet, et dont l’équipe nous confirme qu’une rencontre est désormais prévue en août pour avancer sur le dossier. SOUTIEN EN ACIER. Patrick Martin, candidat à la présidence du Medef, a recueilli en fin de semaine le dernier parrainage de la puissante Union des industries et métiers de la métallurgie, l’une des fédérations les plus influentes au sein de l’organisation patronale. Avec les voix des huit fédérations elles-mêmes adhérentes à l’UIMM, l’Union pèse un peu plus de 10 % des 1 123 voix du collège électoral du Medef. Ce soutien fait donc lourdement pencher en faveur de l’actuel numéro deux de Geoffroy Roux de Bézieux face à Dominique Carlac’h, sa concurrente. L’élection à lieu jeudi ! — Design, sciences comportementales : l’État centralisé et muscle le recours aux cabinets privés (Acteurs publics) — Intelligence artificielle : les photographes réclament des garde-fous (Le Monde) Pascal Dupuis est nommé membre du conseil d’administration du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives en qualité de représentant de l’État. Il remplace Serge Catoire. LES RENDEZ-VOUS DE LA SEMAINE Lundi 3 juillet. Le projet de loi d’orientation et de programmation du ministère de la Justice 2023-2027 arrive en séance à l’Assemblée … Cour des comptes : rencontres des acteurs publics sur la décarbonation de l’action publique en présence de Pierre Moscovici et Agnès Pannier -Runacher … Début du tournoi de tennis de Wimbledon. Mardi 4 juillet. Sénat : la commission d’enquête examine à 15 heures son rapport sur le fonds Marianne … Le projet de loi visant à sécuriser et réguler l’espace numérique arrive en séance … Assemblée nationale : audition de Bruno Le Maire et Agnès Pannier-Runacher sur le financement des…

Source link -57