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La polémique a été déclenchée par une vidéo en ligne montrant des éclaboussures de peinture sur une icône de l’ancien dirigeant soviétique dans la cathédrale Holy Trinity de Tbilissi.
Des manifestants du groupe pro-russe Alt-Info se sont rassemblés devant le domicile d’une militante en Géorgie, l’accusant haut et fort d’avoir « insulté » une icône religieuse.
Même si on ne savait pas au départ si Nata Peradze l’avait elle-même dégradée, elle a finalement admis avoir jeté de la peinture bleue sur le tableau de dévotion de la cathédrale Holy Trinity de Tbilissi.
L’icône religieuse, installée dans la cathédrale principale de la capitale géorgienne, Tbilissi, représente le dictateur soviétique Joseph Staline. Cette décision a suscité des réactions opposées en Géorgie.
Selon les médias locaux, un ancien député géorgien, Giorgi Kandelaki, a attiré l’attention du public sur l’icône ce week-end, affirmant qu’elle renforçait le soutien à Staline.
De nombreux Géorgiens se sont offusqués de cette icône, qui a mis en lumière les divisions profondément enracinées autour de l’héritage de l’ancien dictateur soviétique.
Staline est né et a grandi dans ce pays du Caucase du Sud, mais a ensuite présidé l’URSS, qui dirigeait la Géorgie depuis Moscou.
Son règne entre 1924 et 1953 est connu pour sa brutalité, sa violence et ses massacres.
L’icône a été offerte à l’église de Tbilissi par les dirigeants de l’Alliance des patriotes de Géorgie, un parti populiste de droite, et se trouve déjà dans l’église depuis plusieurs mois.
Il représente des scènes de la vie de Sainte Matrone de Moscou, l’une d’elles représentant Joseph Staline, un athée de renom.
Staline est connu pour avoir persécuté des groupes et des dirigeants religieux pendant son mandat.
Le panneau a depuis été nettoyé et placé sous surveillance policière. Les autorités géorgiennes ont lancé des poursuites judiciaires pour vandalisme sur l’icône.