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La commissaire européenne à la recherche et à l’innovation, Mariya Gabriel, a démissionné de son poste à l’UE alors qu’elle relève le défi de former un nouveau gouvernement de coalition bulgare.
Gabriel a été choisi la semaine dernière par le chef de son parti Boyko Borissov pour devenir le prochain Premier ministre bulgare. Le président bulgare Rumen Radev lui a confié lundi le mandat institutionnel de former un gouvernement.
L’homme politique bulgare de centre-droit a rejoint l’exécutif européen en tant que commissaire aux affaires numériques en 2017 et a pris en charge le portefeuille de la recherche, de l’innovation, de l’éducation et de la culture au début du mandat actuel, en 2019.
Son bilan à Bruxelles était mitigé – elle jouissait d’une réputation de jeune commissaire dynamique avec une véritable passion pour le progrès technologique, mais qui manquait de gravité pour faire avancer son programme et qui pousserait son personnel au point de rupture, a rapporté POLITICO lundi. .
Dans un communiqué, la présidente de la Commission, Ursula von der Leyen, a déclaré qu’elle avait accepté la démission et a remercié Gabriel pour sa « contribution constructive et amicale » au collège.
« Je souhaite bonne chance à Mariya Gabriel et je suis convaincue que son expérience européenne, dans ce collège des commissaires et dans le précédent, sera mise à profit pour le pays », a-t-elle déclaré.
Le portefeuille de Gabriel sera géré par la vice-présidente exécutive Margrethe Vestager et la vice-présidente Margaritis Schinas, Vestager supervisant les questions d’innovation et de recherche et Schinas s’occupant des questions d’éducation et de culture.
La démission de la politicienne bulgare signifie également la fin de son cabinet, qui sera dissous, ont confirmé à POLITICO deux fonctionnaires de la Commission concernés par le changement. Les membres de son cabinet ne seront pas automatiquement transférés dans les cabinets des deux commissaires reprenant son portefeuille.
Gabriel a maintenant sept jours, jusqu’au 22 mai, pour former un gouvernement qui sera dirigé par son parti de centre-droit Citoyens pour le développement européen de la Bulgarie (GERB), qui fait partie du Parti populaire européen (PPE) à l’échelle de l’UE, dans l’espoir de briser un l’impasse politique après cinq élections consécutives en deux ans n’a pas réussi à produire une coalition stable.
A défaut, le deuxième groupe parlementaire – une alliance des deux partis anti-corruption, Poursuite du changement (PP) et Bulgarie démocratique (DB) – aura l’initiative de former une coalition.
Pieter Haeck et Laurens Cerulus ont contribué au reportage.
Cet article a été mis à jour pour inclure de nouvelles informations sur le cabinet de Gabriel.