Customize this title in frenchMatériel pédosexuel : la présidence espagnole propose de limiter la portée des ordonnances de détection

Make this article seo compatible,Let there be subheadings for the article, be in french, create at least 700 wordsUne orientation générale partielle de la présidence espagnole, datée du 10 octobre et consultée par Euractiv, suggère de limiter la portée des ordonnances de détection dans le règlement visant à détecter et supprimer les matériels pédopornographiques en ligne (CSAM). Le règlement proposé vise à prévenir et à combattre les contenus pédopornographiques en ligne, en obligeant les plateformes numériques de l’UE à détecter et à signaler ces contenus. Les associations numériques ont exprimé leurs inquiétudes quant au fait que l’analyse de tels documents entraînerait la rupture du cryptage et des violations de la vie privée, tandis que les organisations de protection de l’enfance estiment qu’il s’agit d’une étape cruciale dans la prévention des abus. La présidence espagnole du Conseil de l’Union européenne, qui a pris la tête de la présidence tournante du Conseil des ministres de l’UE le 1er juillet, suggère de limiter le champ d’application du CSAM aux CSAM connus, du moins « pour le moment » en une nouvelle approche générale partielle. Le CSAM connu fait référence aux contenus déjà diffusés sur Internet, tandis que le CSAM inconnu fait référence à ceux qui n’ont pas encore été détectés. Une orientation générale partielle est un rapport sur l’état d’avancement d’un dossier, tandis qu’une orientation générale (finale) serait adoptée par le Conseil pour donner au Parlement une idée de sa position sur la proposition législative de la Commission. Cette suggestion est due au fait que le groupe de travail chargé de l’application des lois (LEWP) n’a pas reçu un « soutien suffisant » de la part des délégations, comme l’ont conclu le 14 septembre, quant à la portée des ordres de détection, soulevant également des inquiétudes quant à la proportionnalité. Des ordres de détection seraient émis pour donner le feu vert à la détection de CSAM sur les plateformes. Une fois qu’il aura été « établi que les technologies de détection sont suffisamment fiables et précises », les dispositions relatives aux nouveaux CSAM et au toilettage peuvent également s’appliquer. Ceux-ci relèveraient des mesures préventives. Clauses d’activation et de révision En vertu de la clause d’activation, afin de détecter les nouveaux CSAM et le toilettage, le Centre de l’UE, pôle central d’expertise pour aider à lutter contre les CSAM, devrait « surveiller et contribuer aux développements technologiques et procéder à une évaluation technique de la fiabilité et de l’exactitude ». des technologies», peut-on lire dans le texte. Sur la base de cette évaluation, la Commission européenne proposerait un acte d’exécution pour faciliter le processus d’ordonnance de détection du toilettage et du nouveau matériel. Les actes d’exécution sont des actes non législatifs – leur rôle est de « créer des conditions uniformes pour la mise en œuvre de l’acte législatif ». Ils peuvent avoir des applications individuelles ou générales. Normalement, l’adoption d’un acte d’exécution incombe à la Commission, mais la présidence espagnole suggère que « compte tenu des implications importantes d’un tel élargissement du champ d’application des ordres de détection », cette tâche pourrait être confiée au Conseil. En vertu de la clause de réexamen, la Commission devrait devoir évaluer si l’inclusion de nouveaux contenus pédopornographiques et la sollicitation d’enfants devraient faire partie du champ d’application des ordonnances de détection. La Commission devrait tenir compte « notamment de la fiabilité et de la précision des technologies de détection disponibles sur le marché ». Tout comme dans le cas de la clause d’activation, le Centre de l’UE devrait soutenir la Commission en surveillant les évolutions technologiques. Selon l’orientation générale partielle, cela pourrait donner lieu à une proposition législative de la Commission. Les colégislateurs décideraient ensuite si la portée des ordonnances de détection doit être élargie ou non. Si la portée devait être limitée, les mesures préventives et atténuantes des ordonnances de détection devraient encore être renforcées « afin d’éviter une lacune dans la protection des enfants ». Combiner les approches La présidence estime, sur la base de discussions avec le Comité des représentants permanents (COREPER), que les deux approches pourraient être combinées et ainsi répondre aux préoccupations des délégations. Ainsi, l’approche générale partielle stipule qu’en ce qui concerne le nouveau matériel, une clause d’activation devrait s’appliquer, comprenant également des garanties, tandis qu’en ce qui concerne le toilettage, une clause de révision devrait être appliquée. Malgré la controverse sans fin autour du cryptage, le texte ajoute que le matériel crypté doit également rester dans le champ de détection. En outre, la présidence affirme que la solution finale devrait permettre la détection volontaire actuelle des contenus et du harcèlement sexuel sur enfants en ligne. Il s’agit du règlement intérimaire, qui est un règlement temporaire permettant la détection volontaire des CSAM, en vigueur jusqu’au 3 août 2024. Abus sexuels sur enfants : de nouveaux documents informels se concentrent sur les ordonnances de détection Les ordres de détection sont au centre de plusieurs documents informels, distribués lors des réunions techniques de cette semaine au Parlement européen sur le projet de loi visant à prévenir les abus sexuels sur enfants en ligne. Le règlement proposé vise à prévenir et combattre les abus sexuels sur enfants en ligne… Et après? La présidence espagnole invite désormais le COREPER à exprimer s’il soutient ou non les suggestions. Le COREPER II discutera de ce dossier vendredi matin (13 octobre). En fonction de la réunion, le projet de loi pourrait être approuvé par le Conseil Justice et Affaires intérieures (JAI), probablement jeudi prochain (19 octobre). Euractiv a également appris cette semaine que le vote du 26 octobre sur la proposition au sein de la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures (LIBE) du Parlement européen, qui dirige le dossier, pourrait être une date trop ambitieuse, car il reste encore beaucoup à faire. . [Edited by Nathalie Weatherald] En savoir plus avec EURACTIV !function(f,b,e,v,n,t,s) if(f.fbq)return;n=f.fbq=function()n.callMethod? n.callMethod.apply(n,arguments):n.queue.push(arguments); if(!f._fbq)f._fbq=n;n.push=n;n.loaded=!0;n.version=’2.0′; n.queue=[];t=b.createElement(e);t.async=!0; t.src=v;s=b.getElementsByTagName(e)[0]; s.parentNode.insertBefore(t,s)(window, document,’script’, ‘https://connect.facebook.net/en_US/fbevents.js’); fbq(‘init’, ‘307743630704587’); fbq(‘track’, ‘PageView’);

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