Customize this title in french »Ne vendez pas mon bébé » est un autre film sauvage à vie – est-il basé sur une histoire vraie ?

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Source : Durée de vie

Lifetime l’a encore fait avec « Don’t Sell My Baby ». Comme d’habitude, ce film semble assez farfelu, mais est-il basé sur une histoire vraie ? Allons-y.

Jennifer Tisdale - Auteur

Les films à vie ont une saveur particulière de drame qui est presque un genre en soi. Les histoires qu’ils racontent vont de déchirantes à carrément inconcevables. Des amants méprisés aux épouses assassinées, en passant par les adolescents vengeurs, Lifetime ne manque jamais de livrer quand il s’agit de drame.

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Un bien qu’ils aiment revisiter encore et encore est les adolescentes enceintes, qui est un trope dont ils tirent dans Ne vendez pas mon bébé. Le titre à lui seul suffit à nous envoyer courir dans nos cuisines, afin que nous puissions prendre un verre de vin afin de rentrer dans une autre montagne russe.

Croyez-le ou non, parfois ces contes sauvages ne sont pas l’œuvre de fiction. Est Ne vendez pas mon bébé basé sur une histoire vraie? Voici ce que nous savons.

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Don’t Sell My Baby est-il basé sur une histoire vraie ?

Bien que nous ne puissions pas confirmer si Lifetime est ou non Ne vendez pas mon bébé (aussi connu sous le nom Le danger berce le berceau) est basé sur une histoire vraie, il pourrait s’inspirer des crimes bien réels de Thomas J. Hicks.

Selon A&E« des années 1940 aux années 1960, la clinique Hicks de McCaysville, en Géorgie, s’est livrée à la vente illégale de nouveau-nés par l’intermédiaire du Dr Thomas ‘Doc’ Hicks. »

En près de 30 ans, Hicks « a vendu jusqu’à 200 bébés à des couples locaux et étrangers qui n’avaient ni le temps ni l’argent pour des adoptions légales, pour des prix allant de 100 $ à des milliers de dollars », par A&E. Ces bébés seront plus tard connus sous le nom de « Hicks Babies ». Alors que Hicks était considéré comme un pilier de la communauté de la ville minière, il pratiquait également des avortements illégaux, comme le rapporte ABC Nouvelles. À l’occasion, il convainquait les femmes de porter leur bébé à terme, car il avait d’autres projets.

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Dr Thomas J. Hicks

Certaines femmes se seraient fait dire par Hicks qu’il cherchait les meilleurs parents adoptifs. Hicks mentait aux autres, leur disant que leurs nouveau-nés étaient morts. Les bébés ont ensuite été vendus 800 $ ou 1 000 $ chacun, accompagnés d’un faux certificat de naissance avec les noms des nouveaux parents dessus. « Hicks a rendu sa licence médicale en 1964 pour avoir pratiqué un avortement illégal. Il est mort en 1972 à l’âge de 83 ans, n’ayant jamais été tenu responsable de ces bébés du marché noir », a rapporté ABC Nouvelles.

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De quoi parle « Ne vendez pas mon bébé » ?

Le film Lifetime s’écarte grandement des crimes de Hicks, bien que le principe de base soit à peu près le même. Il est centré sur Nicolette (Devin Cecchetto), une lycéenne vivant dans un foyer de groupe qui finit par tomber enceinte. De toute évidence, elle est dévastée par cette nouvelle, mais trouve du réconfort auprès de son professeur sympathique (joué par Fallon Bowman).

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Comme pour tous les films de Lifetime, les choses ne sont pas ce qu’elles semblent être. Une étudiante du nom de Brooke Summers (Maia Jae Bastidas), également enceinte, a disparu mais est revenue trois semaines plus tard en affirmant qu’elle venait de sortir avec son petit ami. Un schéma étrange semble se développer, les filles enceintes étant la cible. La connexion? L’étrange foyer de groupe de Nicolette et une agence d’adoption suspecte.

Pour savoir ce qui se passe, syntonisez Lifetime le 4 mai à 20 h HNE pour Ne vendez pas mon bébé.

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