Customize this title in frenchNetanyahu s’engage à poursuivre la « lutte » contre les armes nucléaires iraniennes

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Jérusalem (AFP) – Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a promis lundi qu’Israël poursuivrait son « combat » pour empêcher l’ennemi juré Téhéran de développer des armes nucléaires, lors d’une cérémonie de l’Holocauste en présence du prince héritier d’Iran en exil.

Rappelant une récente visite à Berlin, Netanyahu a noté que depuis l’Allemagne de l’ère nazie « le monde a changé, mais les appels à notre extermination n’ont pas cessé et viennent aujourd’hui du régime d’horreur de Téhéran ».

« Nous luttons résolument contre tout accord nucléaire avec l’Iran qui ouvrira la voie aux armes nucléaires », a déclaré le Premier ministre israélien dans un discours à la veille de la Journée du souvenir de l’Holocauste.

« Et pour la même raison, nous luttons résolument contre les mandataires terroristes de l’Iran qui nous entourent », a-t-il déclaré au mémorial de l’Holocauste de Yad Vashem à Jérusalem, mettant en garde contre la « réponse écrasante » d’Israël à toute approche ennemie.

Le prince héritier iranien Reza Pahlavi, dont le père était le shah renversé lors de la révolution islamique de 1979, assistait à la cérémonie.

Pahlavi, qui a atterri plus tôt lundi pour sa première visite en Israël en tant qu’invité du ministre des Renseignements Gila Gamliel, a déclaré avant la cérémonie que le régime iranien actuel ne représentait pas le peuple iranien.

« Aujourd’hui, alors que nous avons un régime qui nie que l’Holocauste ait jamais eu lieu, il était de mon devoir d’être ici pour représenter mes compatriotes, d’honorer les victimes de l’Holocauste et de leur rendre hommage », a-t-il déclaré aux journalistes.

Les pourparlers intermittents entre Téhéran et les puissances mondiales pour relancer un accord historique de 2015 visant à freiner le programme nucléaire iranien en échange d’un allégement des sanctions sont au point mort depuis l’année dernière.

L’accord conclu par l’Iran avec la Grande-Bretagne, la Chine, la France, l’Allemagne, la Russie et les États-Unis s’est effondré après le retrait unilatéral de Washington en 2018 sous le président Donald Trump.

En février, l’organisme de surveillance nucléaire de l’ONU a déclaré avoir détecté des particules d’uranium enrichi à 83,7 % en Iran, juste en dessous des 90 % nécessaires pour produire une bombe atomique.

L’Iran nie vouloir acquérir des armes atomiques et affirme qu’il n’a fait aucune tentative pour enrichir de l’uranium au-delà de 60 % de pureté.

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