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La sécurité intérieure américaine insiste sur le fait que « nos frontières ne sont pas ouvertes », alors que de nouvelles règles d’immigration entrent en vigueur qui, selon de nombreux migrants, rendront plus difficile pour eux l’obtention de l’asile.
Des milliers de migrants se sont rassemblés à la frontière américano-mexicaine jeudi soir avant la fin du «titre 42», une règle mise en œuvre par Donald Trump pendant la pandémie qui permettait l’expulsion immédiate des migrants qui traversaient la frontière de manière irrégulière.
La disposition devait expirer à minuit et être remplacée par de nouvelles règles, selon de nombreux immigrants, qui pourraient encore limiter leurs chances d’accéder aux États-Unis.
La présence de patrouilles du Département de la sécurité intérieure (DHS) s’est intensifiée dans des villes frontalières comme El Paso alors que les États-Unis tentaient de persuader les migrants latino-américains fuyant leur pays de ne pas tenter de franchir la frontière.
« Je veux être très clair, nos frontières ne sont pas ouvertes », a déclaré le secrétaire américain à la Sécurité intérieure, Alejandro Mayorkas.
« Les personnes qui traversent notre frontière illégalement et sans base légale pour rester seront rapidement traitées et expulsées. »
Désormais, le « Titre 8 » applique la règle de la migration historiquement dominante aux États-Unis.
De plus, l’administration du président Joe Biden a annoncé de nouvelles mesures restreignant l’accès aux demandeurs d’asile.
Ces nouvelles réglementations, élaborées par l’administration du président Joe Biden dans le but d’alléger la pression à la frontière, obligent les demandeurs d’asile et autres migrants à demander l’entrée depuis l’extérieur du pays.
Des interdictions de cinq ans ou des accusations criminelles seront imposées à ceux qui tentent de traverser illégalement.
Les États-Unis se sont engagés à mettre en place des centres de traitement dans d’autres pays et créent des programmes spéciaux pour les réfugiés dans certains endroits comme Haïti et élargissent les permis de travail temporaires.
Les demandeurs d’asile sont tenus de demander des entretiens via une application pour smartphone – bien que les utilisateurs signalent qu’elle est au mieux glitchy, elle présente un obstacle pour ceux qui n’ont pas de téléphone ou de Wi-Fi en état de marche, et les douanes et la patrouille frontalière ne peuvent fixer que 1 000 rendez-vous par jour.
Mais les républicains de la Chambre font pression pour une ligne plus dure et ont adopté jeudi un projet de loi radical visant à étendre le mur frontalier américano-mexicain et à imposer de nouvelles mesures aux migrants.