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Pendant des années, les intégrations personnalisées ont été le signe d’une pile technologique saine, connectant de manière transparente les différentes technologies utilisées par une agence de titres particulière (prêt hypothécaire, courtier ou société de gestion d’évaluation, d’ailleurs) pour offrir des performances optimales. Après tout, l’un des défis qui restent à relever pour notre industrie – même après une vague de numérisation – réside dans le fait que deux systèmes ne sont pas parfaitement connectés, créant ainsi des points d’étranglement où les humains doivent effectuer la transaction manuellement. Toute amélioration de la connexion à tout moment du processus hypothécaire est une raison de se réjouir.
En fait, les intégrations sur mesure sont depuis longtemps la norme à cet égard. Ils constituent un point de différenciation et, parfois, un avantage concurrentiel pour les fournisseurs de technologies et pour leurs clients qui reconnaissent leurs besoins. Cependant, les intégrations personnalisées entraînent généralement un coût important. Une fois mis en œuvre, ils sont également difficiles à mettre à jour dans un marché en constante évolution. Et cela sans parler de la perturbation potentielle du flux de travail opérationnel pendant la mise en place de l’intégration.
C’est dans ce contexte qu’une lueur d’espoir prometteuse émerge. Nous sommes à l’aube d’une ère technologique imminente qui ne nécessitera pas d’intégrations lourdes. Cela commencera par l’utilisation croissante des API ouvertes, et évoluera vers de nombreuses plates-formes et applications utilisant de nouvelles architectures innovantes qui permettent intrinsèquement aux utilisateurs de personnaliser de manière transparente leur technologie sans prendre de temps ni de dépenses supplémentaires. Naturellement, comme c’est le cas pour presque toute forme de changement, cela aura un impact à la fois sur le secteur des prêts hypothécaires et sur celui des services d’établissement. Voici comment.
L’aube de l’API ouverte
Les méthodes traditionnelles d’intégration de divers systèmes s’accompagnent inévitablement de complexité et de coûts. Les prêteurs hypothécaires et les agences de titres ont toujours été aux prises avec la tâche ardue de synchroniser des systèmes disparates, nécessitant souvent des personnalisations approfondies et des interventions tierces chronophages. De telles intégrations n’entraînent pas seulement du temps et des coûts. Ils ont également tendance à imposer des limites à l’évolutivité et à l’adaptabilité, en particulier à une époque dans le secteur hypothécaire où l’agilité est une condition incontestée du succès, les contraintes imposées par les intégrations traditionnelles peuvent même entraver l’innovation et la réactivité à l’évolution des demandes.
Entrez dans l’interface de programmation d’applications ouverte (API), sur laquelle la prochaine génération de FinTech sera construite, du moins dans un premier temps.
Les API ouvertes représentent une avancée considérable dans le développement de logiciels, même à une époque où l’introduction de nouvelles idées et concepts ne fait que s’accélérer. Une API ouverte, bien que construite sur une interface standardisée, permet une interopérabilité fluide entre des systèmes (et des utilisateurs) autrement disparates.
Contrairement aux intégrations conventionnelles, les API ouvertes permettent aux utilisateurs de se connecter et de configurer diverses applications, éliminant ainsi le besoin de personnalisation spécialisée ou complexe et améliorant le processus d’intégration. En adoptant les API ouvertes, les entreprises de tout type créent essentiellement une plate-forme qui favorise des processus métier plus agiles et adaptatifs.
Des API ouvertes font déjà leur apparition dans le secteur immobilier, dont quelques-unes avec certains des développeurs technologiques les plus établis et les plus connus. L’attrait réside dans leur simplicité et leur polyvalence. À une époque où le rôle et les attentes des prêteurs et des prestataires de services évoluent, les technologies Open API peuvent permettre aux utilisateurs d’intégrer des technologies émergentes et des services tiers presque à la volée, sans le temps et les dépenses liés au développement personnalisé.
Imaginez pouvoir modifier un processus d’origination ou de clôture en fonction d’un mini boom du refinancement d’une durée de trois ou quatre mois, puis être capable de pivoter rapidement pour s’adapter à davantage de défauts ou d’affaires HELOC. La plupart des indicateurs suggèrent que les prochaines années pourraient se dérouler avec ce type de volatilité dans les cycles de marché. Malheureusement, de nombreux systèmes existants en place qui n’utilisent pas l’Open API (ou n’intègrent pas d’autres flexibilités d’anticipation) connaîtront probablement des difficultés lors de ces transitions rapides du marché, mettant à rude épreuve le débit et, éventuellement, même les activités existantes ou nouvelles.
Une richesse de possibilités
Qu’il s’agisse d’intégrer des outils d’analyse avancés, des technologies émergentes et évolutives pour fournir une cybersécurité améliorée ou des solutions basées sur l’IA pour l’automatisation des processus, les API ouvertes offrent aux entreprises de prêts hypothécaires et de titres une multitude de possibilités. En exploitant la puissance des API ouvertes, les prêteurs et les agents seront en mesure de pérenniser leurs opérations, en s’adaptant rapidement aux tendances émergentes du secteur et aux besoins des clients.
Une nouvelle génération de technologie
Comme c’est le cas pour toute nouvelle technologie, ces solutions ne sont qu’un début, plutôt qu’un sommet. Les API ouvertes peuvent également encourager une culture de collaboration et d’innovation au sein de l’industrie. Toute plate-forme ou source centralisée permettant, essentiellement, une contribution et une collaboration sans entrave, est mûre pour de nouveaux concepts et innovations passionnants. Dans un secteur où les différents segments (par exemple l’origination, les services de titres, l’évaluation, l’immobilier) souffrent d’un manque d’interopérabilité efficace, les opportunités abondent pour les entreprises immobilières de tout type de trouver enfin un terrain d’entente sur certaines fonctions collaboratives, plutôt que de poursuivre la bataille infructueuse pour la suprématie des applications ou des portails.
Comme ce fut le cas avec la première vague d’automatisation des prêts hypothécaires et des titres de propriété, une telle transformation s’accompagnera de défis considérables, à commencer par l’adoption (comme toujours). De trop nombreuses entreprises de notre secteur risquent de considérer comme suffisants leurs récents investissements technologiques. À partir de là, les prêteurs et les fournisseurs de services, comme ils le font avec toute autre technologie, devront prendre en compte la sécurité, la confidentialité et la conformité des données à un moment où les cybermenaces augmentent et évoluent et où de nouvelles vagues d’exigences fédérales et étatiques apparaissent.
L’avantage de l’utilisation d’API ouvertes ou de solutions similaires peut aussi être sa faiblesse. Par exemple, l’échange transparent d’informations facilité par les API ouvertes nécessitera également des mesures de sécurité robustes pour protéger les informations sensibles et garantir le respect des exigences réglementaires strictes.
L’époque où l’on annonçait fièrement une nouvelle intégration touche à sa fin. Alors que le secteur des prêts hypothécaires et des titres de propriété évolue vers un avenir où l’on peut au moins envisager de manière réaliste un délai de clôture bien inférieur à 50 jours, l’ère des API ouvertes et de nouvelles solutions facilement interconnectées sera la toile de fond. En offrant à des plates-formes, des applications et même des utilisateurs autrefois disparates la possibilité d’interagir et de collaborer avec beaucoup moins d’obstacles, la prochaine génération de technologie pourrait ouvrir la voie à un univers immobilier plus agile, adaptatif et interconnecté.
Kevin Mazur est président de VizionX, un fournisseur de technologie et de SaaS au service des secteurs des services hypothécaires et de règlement.
Cette chronique ne reflète pas nécessairement l’opinion de la rédaction de HousingWire et de ses propriétaires.
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