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Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán a félicité vendredi 3 novembre le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev, dans ses premiers commentaires publics depuis que Bakou a repris le Haut-Karabakh aux séparatistes arméniens de souche.
L’Arménie et l’Azerbaïdjan sont engagés dans un conflit qui dure depuis des décennies pour le contrôle de la région du Haut-Karabakh, peuplée d’Arméniens, à Bakou.
Bakou a pris le contrôle de la région montagneuse en septembre lors d’une offensive éclair de 24 heures qui a mis fin à des décennies de régime séparatiste pro-arménien.
« Je voudrais profiter de cette occasion pour souhaiter au président Aliyev plein succès dans son travail de stabilisation de la région et plein succès dans les travaux de reconstruction au Karabakh », a déclaré Orbán lors du sommet des États turcs à Astana, la capitale kazakhe.
« Félicitations cher Monsieur le Président ! » il ajouta.
L’Organisation des États turciques est une organisation intergouvernementale initiée par la Turquie et regroupant des pays de la même famille de langues, ses membres étant l’Azerbaïdjan, le Kazakhstan, le Kirghizistan, la Turquie et l’Ouzbékistan. La Hongrie et Chypre du Nord, non reconnue au niveau international, ont le statut d’observateur.
La langue hongroise fait partie de la branche des langues finno-ougriennes, mais Orbán affirme que le pays a des origines hun-turques.
D’autres dirigeants présents au sommet ont également félicité Aliyev sur ce sujet.
L’Union européenne cherche à accueillir des pourparlers entre les dirigeants arméniens et azerbaïdjanais pour réduire les tensions.
Contrairement aux autres membres de l’UE, la Hongrie entretient depuis longtemps des relations étroites avec Bakou, prenant le parti de l’Azerbaïdjan dans le conflit du Haut-Karabakh.
En revanche, la Hongrie n’a rétabli ses relations diplomatiques avec l’Arménie que l’année dernière, après une pause de dix ans.
Erevan a rompu ses relations diplomatiques en 2012 après que Budapest ait renvoyé chez lui Ramil Safarov, un officier de l’armée azerbaïdjanaise reconnu coupable du meurtre d’un soldat arménien.
À son retour, Safarov a été accueilli en héros, grâce présidentielle et promotion.
(Edité par Georgi Gotev)