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La migration n’était pas censée être discutée lors du sommet de la Communauté politique européenne de jeudi, mais, tout comme au niveau de l’UE, elle a rapidement trouvé sa place parmi les priorités de l’ordre du jour.
Les dirigeants de l’Albanie, de la Grande-Bretagne, de la France, de l’Italie, des Pays-Bas et le chef de la Commission européenne ont pris part à une réunion sur la migration organisée en marge de le sommet EPC à Grenadeen Espagne, où les discussions sur le multilatéralisme, le climat et les défis numériques étaient censées dominer l’ordre du jour.
Ils ont élaboré un document en huit points sur lequel ils travailleront au cours des prochains mois dans le but de finaliser une sorte d’accord lors du prochain sommet de l’EPC prévu au Royaume-Uni au printemps.
Des actions de sensibilisation seront menées auprès d’autres pays de l’EPC pour construire une coalition des volontaires, a déclaré le président français Emmanuel Macron.
« Je considère que l’EPC est justement un espace pertinent pour lutter contre la migration. D’abord parce qu’il existe plusieurs pays d’origine parmi les Balkans occidentaux et que la coopération permet de réduire significativement l’immigration irrégulière. »
« Nous souhaitons avoir une approche beaucoup plus coordonnée avec les pays d’origine et les pays de transit. C’est la condition pour être efficace car nous voyons clairement que nous avons des politiques désynchronisées ou divergentes » qui affaiblissent les efforts pour résoudre ce problème, a-t-il ajouté.
Les huit points inclure des engagements à « prendre des mesures énergiques » pour « lutter contre le trafic de migrants le long des routes et aux frontières extérieures » en coopération avec les pays partenaires par le biais d’une action commune.
Ils ont également déclaré qu’ils apporteraient un soutien aux pays partenaires à travers le déploiement de personnel, d’équipements et d’autres matériels pour renforcer la protection des frontières, mais également financièrement pour stimuler l’aide au retour volontaire et à la réintégration.
Le document comprend également un plan visant à mettre à jour le cadre juridique afin d’harmoniser les infractions pénales liées au trafic de migrants, à renforcer la coopération en matière de politique des visas ainsi qu’en matière de retour et de réadmission « par le biais d’un réseau d’officiers de liaison dans les pays partenaires, du partage d’expertise, de relations diplomatiques et opérations de retour. »
La discussion de jeudi a eu lieu juste un jour après que les États membres de l’UE ont finalisé leur position sur de nouvelles règles communes pour gérer une arrivée massive inattendue de demandeurs d’asile. Le ce qu’on appelle la régulation de crise C’est la dernière pièce du puzzle qu’est le nouveau pacte sur l’asile et la migration que les co-législateurs – les États membres et le Parlement – espèrent négocier et adopter avant la fin du mandat de cette Commission.
Les difficultés rencontrées ces dernières années pour parvenir à un consensus entre les États membres ont conduit la Commission à se concentrer davantage sur la dimension extérieure et à conclure des accords avec des pays tiers dans le but d’endiguer le flux d’arrivées irrégulières.
Le dernier en date, avec la Tunisie, a vu l’UE s’engager à verser 105 millions d’euros à la Tunisie pour lutter contre les opérations de lutte contre la contrebande, renforcer la gestion des frontières et accélérer le retour des demandeurs d’asile dont les demandes ont été refusées. L’accord a cependant été condamné par des membres du Parlement européen et des organisations humanitaires en raison d’inquiétudes concernant les abus présumés des migrants subsahariens par les autorités tunisiennes.
L’Italienne Giorgia Meloni, dont le pays avait retardé l’adoption du texte du règlement de crise en raison de dispositions sur les services de recherche et de sauvetage fournis par les navires d’ONG en mer Méditerranée, a déclaré aux journalistes à son arrivée au sommet de Grenade que « les objectifs de l’UE en matière de migration sont évoluer vers une position plus pragmatique, fondée sur la légalité, pour lutter contre la migration irrégulière et gérer les migrations légales ».
« Sur le plan extérieur, l’UE doit agir rapidement », a-t-elle ajouté.
Le président serbe Aleksandar Vučić n’a pas participé jeudi au débat multilatéral sur la migration, mais il s’en est néanmoins félicité.
« Je pense que c’est le meilleur endroit car vous pouvez discuter de toutes les questions avec les personnes impliquées dans cette question difficile », a-t-il déclaré à Euronews.
« Nous avions besoin d’un peu plus de présence avec les pays d’Afrique du Nord, mais compte tenu de l’endroit où nous nous trouvons, je pense que nous avons eu de bonnes discussions sur les questions d’immigration et que nous sommes vraiment prêts à faire tout ce que l’on nous demande de la part de nos dirigeants européens. partenaires sur les questions de migration », a-t-il ajouté.
Quarante-cinq dirigeants de toute l’Europe ont assisté au sommet de l’EPC, avec deux absences notables : l’Azerbaïdjanais Ilham Aliyev et le Turc Recep Tayyip Erdoğan.
La situation entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie, la guerre de la Russie contre l’Ukraine et la La politique d’élargissement de l’UE figurait également en bonne place à l’ordre du jour.
L’article a été mis à jour pour inclure des détails sur le document en huit points.