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« Ne vous inquiétez pas. Personne ne partira. Personne », a déclaré mardi Thierry Breton, commissaire européen au marché intérieur, à Euronews.
« Personne, bien sûr, car c’est le plus grand marché numérique au monde. Donc, personne ne peut se le permettre », a-t-il poursuivi.
« C’est (un marché) qui est plus grand que celui des États-Unis (donc) personne ne peut se permettre de ne pas l’être. Et nous accueillons tout le monde. »
Les commentaires de Breton interviennent au milieu des négociations de la loi sur l’IA, une loi ambitieuse qui vise à freiner les excès de l’intelligence artificielle et à garantir que la technologie en évolution rapide respecte les valeurs fondamentales de l’Union européenne.
Le projet de loi est considéré comme une première tentative mondiale de réglementation de l’IA par le biais d’une approche centrée sur l’humain, Approche fondée sur le risque; et son succès – ou son échec – potentiel pourrait influencer les règles dans d’autres pays du monde.
« Nous ne réglementons pas seulement l’IA. Nous avons décidé d’organiser notre espace numérique », a déclaré Breton dans son entretien avec Euronews.
Mais la loi sur l’IA, qui a fait l’objet de milliers d’amendements et d’un lobbying intense, a rencontré un certain scepticisme de la part de l’industrie qu’elle tente de gouverner.
Le mois dernier, Sam Altman, le PDG d’OpenAI, la société à l’origine du révolutionnaire ChatGPT, a fait sensation quand il a suggéré l’entreprise pourrait envisager de quitter le marché européen si elle ne pouvait pas se conformer aux règles proposées.
Altman est ensuite revenu sur les remarques, qui ont attiré une attention considérable des médias, et a déclaré qu’il n’avait « pas l’intention » de sortir.
Breton a eu l’occasion de discuter de cette question avecAltman lors d’un récent voyage à San Francisco au cours duquel il a également rencontré plusieurs directeurs de grandes entreprises technologiques, dont Mark Zuckerberg de META et Linda Yaccarino de Twitter.
« Il (Altman) m’a dit que c’était mal interprété. Alors il a changé son tweet, et il a dit : ‘J’adore le règlement, nous le suivrons.’ D’ailleurs, y compris sur le tatouage », a déclaré Breton, faisant référence à la technique numérique qui permet d’identifier comme tel le contenu généré par l’IA.
« Les règles sont les règles », a poursuivi Breton, se parlant de lui-même comme « l’exécuteur ».
« Les politiciens sont là pour établir les règles pour sécuriser quand nous pensons que c’est important la façon dont nos concitoyens vivent dans cet espace ou cet espace, et les entreprises sont là pour suivre les règles. Et elles le feront. »